Sfia l'illusionniste politique
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Si quelqu'un dans la salle est au courant d'une loi fédérale ou d'une ordonnance régionale ou d'un décret de la communauté française, portant l'empreinte de Sfia Bouarfa, qu'il lève le doigt.
Durant dix années de présence sur les bancs de toutes sortes d'assemblées ( commune de Sachaerbeek, parlement de la communauté française, parlement de la Région bruxelloise, ou sénat fédéral ), sans compter les multiples mandats à jetons dans différents organismes communaux ou régionaux, qui rapportent beaucoup d'argent, Sfia, comme la plupart des élus dits allochtones ou "spécifiques" n'a rein produit.
Ceci sans parler de la timidité et des calculs carriéristes dont Sfia a fait preuve au sein de son parti, lorsqu'il s'était agi de l'ouvrir pour dénoncer la présence de négationnistes ou de machistes qui ont pris le pouvoir au sein du PS aujourd'hui.
Tout le monde se souvient de la sortie tapageuse de Sfia Bouarfa en 2009, lorsqu'elle avait "dénoncé" les intégristes et les négationnistes au sein du PS et de la courbe rentrante qu'elle avait dû effectuer lorsque son patron Moureaux l'avait convoquée et intimé l'ordre de la "fermer". Elle a écrasé.
A part des rencontres avec Chavez ou d'autres dirigeants radicaux de certains pays, Sfia n'a rien produit dans le cadre des mandats que lui ont confiés les électeurs belges ou bruxellois.
En conséquence, il est très facile aujourd'hui, de sortir de son trou pour annoncer son soutien au PTB. C'est d'autant facile qu'aujourd'hui, Philippe Moureaux qui lui avait fermé sa g... n'est plus que l'ombre de lui même et c'est d'autant plus facile que Sfia après avoir effectué ses trois mandats parlementaires et assuré sa pension à vie, ne risque pas de se retrouver exclue du chômage qui menace aujourd'hui, grâce à Di Rupo, des dizaines de milliers de Belges.
Elle part du PS en abandonnant le parti à des opportunistes, des machistes, des antisémites et des négationnistes.
Avant hier, j'ai rencontré au Liberty, un vieux copain du président déchu Ben Ali, le sieur à la pipe, Mahfoud Romdhani, qui m'a fait devant témoins, le commentaire suivant sur Bouarfa:
"Sfia est une traitrise. Moi je reste fidèle à mes convictions"
C'est un échec sur toute la ligne. Sauf sur celle de l'accumulation d'argent.
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La meilleure analyse sur cette femme qui est une fumiste antipathique et une escroquerie intellectuelle! Il suffit de l'entendre quelques minutes pour s'en rendre compte: vulgarité et considérations boutiquières sur ses indemnités de parlementaire tiennent lieu de ligne politique. Parvenue sans envergure elle promenait son élégance sur les remparts de Caracas. Ceux qui la connaissent un tant soi peu savent qu'il y a plus d'esprit, d'à propos, d'humour, d'humanité et de générosité chez une vendeuse de la rue de Brabant ou une nettoyeuse de bureaux opérant aux petites heures du jour ou tard le soir que chez cette triste personne.
RépondreSupprimerLa vraie surprise est que, malgré cette évidence, le Parti lui a laissé le loisir d'enchaîner trois mandats successifs qui lui assurent une belle retraite.
Que le PTB s'enthousiasme maintenant du soutien de ce cheval de retour en dit long sur le soi-disant renouveau que cette formation politique (toujours stalinienne in petto) prétend insuffler à la gauche. La plus grande contribution que Bouarfa pourrait apporter désormais au débat public serait de se taire définitivement...