lundi 8 février 2016

Le roi Mohamed VI prend en charge l'hospitalisation de la jeune qui s'était jetée sur une voiture du cortège royal à El Ayoune

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...Cela lui fait une "belle jambe"

C'est ce que rapporte le site Goud.ma


محمود الركيبي-كود
علمت “كود” من مصادر مطلعة ، أن الملك محمد السادس تكلف بمصاريف علاج الفتاة التي تعرضت لحادث خطير بعد أن اصطدمت  بسيارة تابعة للموكب الملكي يوم الجمعة الماضي بمدينة العيون.
الفتاة التي جرى نقها إلى المستشفى العسكري الثالث بمدينة العيون، مباشرة بعد الحادث تعاني من مجموعة من الكسور على مستوى الرجلين و كذلك الأطراف من جسدها
مصادر طبية أكدت أن الفتاة تتماثل للشفاء كما أن تعليمات صارمة أعطيت لمتابعة جالتها عن كثب 


  Ce type qui vend la Bayssara à Tanger a dû recourir à un intermédiaire pour   pouvoir ouvrir son gourbit de 2m sur 1

Commentaire de Bruxellois surement


Dans un pays où les passe droits et les faveurs ont fini par supplanter les droits des citoyens, les Marocains, jeunes comme âgés, ont appris qu'au lieu de se mobiliser pour revendiquer ce à quoi ils ont droit, il leur semble plus aisé de s'adresser au roi ou aux ministres pour obtenir une faveur 

Cette façon de faire provient d'une culture qui encense l'intercesseur ( Al Wassit) entre le musulman et son dieu. Un intermédiaire maraboutique, un siyed ou un waliyou ALLAH, que la plupart des Marocains considèrent comme un "facteur" susceptible de transmettre leur lettre ou leur doléance à dieu

Cette tendance à vouloir emprunter la fenêtre du passe droit au lieu de réclamer le dû reconnu par les lois du pays et par le statut de citoyen, a envahi le comportement du marocain qui n'éprouve plus le besoin de créer des mouvements solidaires pour changer les choses au sein de sa société

Il en va de même pour la quêmanderie politique et le frottage de manches, afin d'obtenir un poste de Moqaddem, de Caid ou de responsable d'une administration, voire celui d'ambassadeur ou de consul


Outre le nécessaire Wassit ou Rkiza la corruption ne se trouve pas loin de ce comportement

1 commentaire:

  1. On est presque dans la même situation à Bruxelles et en Wallonie ou ils sont nombreux à croire ou à espérer encore que les politiciens pouront soit résoudre des problèmes d'emploi, de régularisation ou encore de logement, et oui...

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