samedi 8 février 2020

Démonstration de force impressionnnte des Frères...

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Notre ministre de la justice se prosterne face à l'imam antisémite Toujghnani


...musulmans à Molenbeek.

Feu Philippe Moureaux, a légué à sa fille , un héritage plein de dangers qui explosera un jour ou l'autre 

Picqué décorant le negationniste Erdoganiste Ozkara

https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://www.lesoir.be/199717/article/2019-01-09/limam-qui-appelait-tuer-les-juifs-star-des-mosquees-bruxelloises&ved=2ahUKEwi5j9rG8MHnAhUDsKQKHZUQBIQQFjAPegQIAhAB&usg=AOvVaw3XehdKCMcVD8vVO8vRSRY5

A ceux des démocrates qui en doutaient encore, l'engouement et la mobilisation de la masse musulmane suite au décès du prédicateur Rachid Haddach, viennent confirmer la mainmise de la confrérie obscurantiste des Frères musulmans sur la communauté musulmane issue essentiellement du Maroc.

Tenez vous bien: En l'espace des 48 heures qui ont suivi le décès de celui qui imposait lors de ses prêches, la séparation entre jeunes hommes et filles enfoulardées, une organisation quasi militaire fut mise sur pied par les dirigeants de la mosquée Al Khalil de Molenbeek, la plus grande et la mieux structurée du pays.

Commençons par présenter le pseudo professeur, dont la formation religieuse le doit à deux principaux personnages.

Le premier n'est autre que l'imam Toujghani Mohamed, patron incontesté de la mosquée salafisto-freriste Al Khalil, ce même prédicateur très charismatique qui fut l'auteur il y a quelques années d'une vidéo antisémite confirmée dans laquelle, il appela à brûler et à anéantir les Juifs.

Ce même Imam qui s'est illustré par la vente d'"invocations" en faveur des enfants, moyennant argent sonnant et trébuchant.



https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=2721044041243208&id=390241030990199

Depuis sa prime enfance, Haddach fut confié à Toujghani pour veiller à son éducation salafiste et rigoriste.

Le second personnage ayant pris sous son aile protectrice le jeune Rachid ne fut autre que le très saoudien imam directeur du Centre islamique et culturel du Cinquantenaire; lequel centre fut pointé du doigt par la Commission attentats avant que son Imam directeur ne soit sommé de plier bagages et de rendre les clés de cet édifice à l'état belge.

Au Centre islamique, Haddach put se sourcer dans les contenus des manuels et autres livres hostiles à la mixité "Hommes-femmes" et à l'ouverture aux Non musulmans.

Des manuels prônant la primauté de l'islam sur l'état de droit.

L'imam directeur de ce Centre envoya Haddach en Arabie saoudite où le jeune etudiant demeura plus d'une année,  pour parfaire sa formation ultra conservatrice et guère ouverte aux Non musulmans


https://bruxellois-surement.blogspot.com/2015/01/rachid-haddach-se-manifeste.html?m=1

Par la suite, fort de cette formation dont la harangue remplace le discours à  contenu rationnel, Haddach fut repéré par le très trouble inspecteur des cours de religion islamique en Communauté française, l'homme des Services marocains, Salah Echallaoui.

Rachid devient enseignant de religion islamique et parcoura de nombreux établissements bruxellois, avant d'être nommé par l'exécutif des Musulmans comme aumônier islamique dans des établissements pénitentiaires belges.

Ses passages dans des écoles et autres prisons mettront Haddach en contact avec un très nombreux public à qui il prêche la seule voie de rédemption: celle d'un retour à la voie d'Allah, version saoudienne et Frériste.

Dans ses prêches et lors de ses conferences et autres vecteurs vidéos, son usage de la langue française et d'un style direct emprunté au langage de la jeunesse islamique bruxelloise, fera que les Belgo-marocains de la troisième et de la quatrième génération accrocheront sans difficulté la dynamique Haddach.

Si Haddach fut radical dans ses enseignements en matière de mixité et de prépondérance de l'homme sur la femme, l'homme ne fut jamais pris en flagrant délit d'incitation à la violence ou au terrorisme. Du moins publiquement.

L'organisation sans faille et sans anicroche des cérémonies ayant suivi sa mort, est l'oeuvre des organisations salafistes et frérestes de Molenbeek, à qui la fille de feu Philippe Moureaux apporta via la police et une pléthore d'agents de prévention et d'animateurs sociaux culturels de la commune, le soutien, l'encadrement et surtout la reconnaissance à qui ses officines islamistres aspiraient depuis  les attentats de 2016.

Sans exception, Ikazbane, Moureaux, Daif, El Khannouss et autre Chahid en tête, tous les édiles de la majorité Molenbeekoise, et même de l'opposition, firent la queue pour présenter leurs sincères condoléances aux dirigeants de la mosquée Al Khalil, Toujghani en tête.

Cette démonstration de force était destinée à rappeler aux partis politiques molenbeekois, si d'aventure ils l'avaient oublié,  que les radicaux ne comptent pas rester au balcon lors des futures consultations electorales.

Des prédicateurs français tinrent à marquer par leur présence cet événement fédérateur de toute la constellation salafiste francophone.

Signalé S, le prédicateur radical El Jay, fit le déplacement de France, accompagné du très obscur Iqouissen pour assister à la Janaza.

Ce qui est grave et interpellant dans cet événement réside dans le fait, que comme un seul homme et en un temps record, des milliers de jeunes musulmans de Bruxelles qui n'ont jamais afflué au stade Machtens pour encourager leur valeureux club local ou assisté aux séances du Conseil communal de Molenbeek, se soient retrouvés massivement derrière le cercueil d'un "professeur " dont aucun passage n'est signalé dans les universités ou les instituts supérieurs de notre pays .


Intégration citoyenne  definitivement et irrémmediablement compromise

Bien que résidant dans des communes où le contact et la proximité avec les autres composantes de la société bruxelloise et fréquentant les mêmes lignes de transport en commun et les mêmes centres commerciaux  du centre bruxellois, les jeunes musulmans natifs de Belgique semblent de plus en plus réticents à la nécessaire ouverture vers les autres et de plus en plus séduits par le repli communautaire.

La responsabilité des partis politiques bruxellois, PS en tête, est très largement engagée .

Cherchant à ratisser large et à bénéficier des voix provenant des ghettos islamiques ayant pris racine dans de vastes espaces de ces municipalités, le parti socialiste est tenu pour responsable devant l'histoire devant ce fiasco alarmant.

Les élus arabo-musulmans qui ont toujours caressé cet électorat dans le sens du poil et confiné les populations musulmanes dans un carcan communautariste étouffant, doivent un jour rendre des comptes.

Surtout ceux qui comme Madrane, Laanane et autre El Ktibi se sont toujours proclamés de la laïcité mais fui leurs responsabilités lorsqu'il s'est agi de montrer la voie de la citoyenneté et de l'état de droit à celles et ceux qu'ils sollicitent pour leurs suffrages. 

Nous allons de plus en plus  et irremediablement vers une société culturellement duale; une société au sein de laquelle, les Musulmans evoluent en parallèle à la société des citoyens de notre pays 



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