.
.
C'est tout le contraire d'un divorce à l'amiable. Ou plutôt, c'est une rupture d'un couple où tous les coups sont permis et où, tant la femme que le mari, rsiquent grandement d'être perdants.
.
Un divorce où l'on a décidé, l'un comme l'autre, de ruiner son ex.
Quitte à se ruiner soit même.
.
Un divorce où les enfants sont pris en otage et utilisés comme instrument de vengeance.
.
Et pourtant, lorsqu'on y regarde de très près, la séparation entre les deux destins, supposés jadis communs, n'a pas été si atypique ou d'une nature si violente que des velléités de vengeance, pourraient être inévitables.
.
Deux formations qui ont décidé souverainemnt de sceller une alliance, pour, progressivement, en arriver à une union leur ayant permis de progresser ensemble et de convoler en joyeuses noces.
.
Le bonheur rencontré dans le près a cessé son effet, dès lors que le PRL, décidât de changer de partenaire, au Fédéral, ou plutôt de passer à un ménage à plusieurs.
La haine est en train de faire place à la discorde et à l'incompréhension. Et d'aveugler les anciens alliés.
A ce train, tant le FDF que le PRL, à l'heure où les désertions se multiplient dans les rangs bleus, au profit du parti amarante, risquent de se casser les ailes, au soir du 14 octobre 2012.
Le PS, lui, boit du petit lait, surtout que, tirant à hue et à dia, le PRL se fait des ennemis à tour de bras.
Notamment à Molenbeek, où Schepmans cherche à déloger le vieux briscard Moureaux.
Au sein du PRL bruxellois, cela tire dans tous les sens et la direction du parti a l'air d'improviser au jour le jour, la stratégie de positionnement pour les élections communales prochaines.
Si le PRL et le FDF devaient présenter des listes séparées, il est quasi sûr que Clerfayt retournera sur les bancs de l'opposition, à l'issue de ces élections.
Car, la section schaerbeekoise du PRL, si affaiblie soit elle, ira renforcer le PS, rien que pour donner la leçon de sa vie à l'ex secrétaire d'état aux budget.
.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire