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...des candidats allochtones aux élections du 25 mai 2014
.Plus les jours séparant les candidats du fatidique dimanche 25 mai s'égrènent, plus les prétendants au pactole de 5500 € / mois, ne parviennent plus à dormir, tant le doute les taraude.
Ceux qui sont les plus constipés et les plus crispés - et le mot est trop approximatif - sont les élus 2 fois sortants, qui tueraient père et mère, pour rempiler afin d'émarger à la pension à vie.
Ceux qui ont eu cette pension, après avoir produit du Chergui, comme Sfia Bouarfa, Mahfoud Rhomdani ou Mohamed Daif, sont assurés de se la couler douce en fructifiant leurs rentrées financières permanentes.
En revanche, Azzouzi, ex architecte, qui a laissé tomber nombre de clients ayant fait appel à ses services, stresse à mort aujourd'hui et fait tout pour décrocher un troisième mandat régional qui lui assurerait le viatique permanent.
D'autres sont dans le même cas, comme El Ktibi, Ouriaghli, El Khannous, Fatiha Saidi, Madrane, ou Béa Dialo.
Sauf qu'Ahmed El El Ktibi, échevin à Bruxelles - Ville, abat, de l'aveu de nombreux de ses collègues et d'intervenants du terrain politique bruxellois, un ouvrage appréciable tant à la ville de Bruxelles ou au parlement régional.
Il en va de même d'Ahmed El Khannous siégeant à Molenbeek et à la rue du Lombard.
Ceux qui n'ont jamais été élus au parlement régional espèrent commencer une carrière parsemée de rentrées financières afin de pouvoir faire face aux difficultés de la vie.
Confiant dans sa bonne étoile qui a brillé lors des précédents élections fédérales, le député fédéral Jabbour vit dans l'espoir de rééditer son exploit de 2010.
Sauf qu'une élection fédérale est de loin, différente d'une consultation régionale.
Lors de la seconde, les prétendants sont légion sur les listes de nombreux partis politiques bruxellois et du coup le nombre de sièges à pourvoir se trouve être très réduit.
Je ne suis pas loin de penser que des candidats comme Jabbour, Medhoune ou Fassi Fihri, ne sont pas loin de prendre la direction du vestiaire pour se rhabiller vite fait au soir du 25 mai 2014.
Les chances d'un Azzouzi usé par les conflits et le manque de productivité sont également réduites cette fois.
Nombreux seront les candidats du PS qui passeront le restant de leur existence à maudire le PTB, qui privera nombre d'entre ces élus, du miel et du beurre auxquels Moureaux les avait habitués.
votre analyse est judicieuse , il est clair aujourd'hui que ses différents candidats sont plus attirer par le pécule et le poste que par la couleur de leur maillot .
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