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Ad Dawla Al Islamiya fil Irak wa Cham : Une bombe nucléaire
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Pour prétendre combattre et battre Daiich, il est indispensable de comprendre et de percer les mystères qui entourent l'idéologie et la structure de cette organisation.
Comme il est primordial d'analyser la mentalité de ses membres et de ses dirigeants et de mesurer le degré d'impact, de séduction et de fascination que de cette organisation, qui a renvoyé Al Qaeda au vestiaire, exerce sur nombre de jeunes musulmans aujourd'hui.
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Certes, je suis loin de prétendre avoir obtenu un doctorat en matière d'analyse des mouvements terroristes Jihadistes ou d'avoir installé sur le divan, Al Baghdadi le grand patron de cette nébuleuse, qui mobilise aujourd'hui, contre elle, tout ce que la planète compte comme états émargeant au monde dit civilisé.
Pour commencer, ce qui me gêne et me dérange dans cette très large coalition anti Daiich, réside dans la présence au sein de ce vaste partenariat décidé à en découdre avec l'EIIL, de gouvernements et autres consortiums politiques et religieux, dont l'adhésion aux valeurs démocratiques et des droits de l'homme, pose de véritables questions.
Aux cotés d'Angela Merkel, de Laurent Fabuis, de Barak Obama ou de David Cameroun, l'on retrouve des dictateurs endurcis, promoteurs du basique terroriste salafiste comme l'Arabie Saoudite, des tueurs en masse sur les places publiques comme le maréchal (encore un) Abdelfattah Al Sissi et le despote croulant, l'immortel algérien Abdelaziz Bouteflika.
Sans oublier les Mollahs enturbannés d'Iran ou le candidat à cette étrange alliance, que représente Bachar le Chimique. De même que les sionistes israeliens, éradicateurs de tout un peuple
Avouez que cela fait un drôle de couscous aux sept légumes que constitue ce compagnonnage.
Sans oser nous l'avouer à haute voix, certains au sein des états majors politiques occidentaux sont aujourd'hui en train de regretter la très "grande erreur" qui fut la leur, d'avoir troqué l'enfant de choeur Saddam Hussein par l'Etat islamique en Irak et au Levant.
De quoi se compose la direction de Daiich aujourd'hui?
Des courants idéologiques et politiques que rien ne prédisposait à opérer ne serait ce qu'un rapprochement sémantique au départ:
Les Baassistes, héritiers du Saddamisme, avec à leur tête, le rouquin Izzat Al Dourri, détenteur de la fortune du Baas irakien,
Des Cheikhs des grandes familles sunnites, ayant perdu leur prestige et leurs positions au profit des chiites téléguidés par Téhéran,
Des centaines d'anciens détenus de Guantanamo, coupables ou non de terrorisme Qaediste, ayant souffert le martyr sur l'île du diable Castro.
D'autres détenus ayant subi à Bagram, à Abou Ghrib et dans d'autres lieux atroces de détention, les humiliations les plus abjectes qu'un musulman peut accepter.
Surtout si les tortionnaires sont des femmes "mécréantes"
La direction de Daiich est d'après les analystes de l'slamisme violent - analystes ayant, pour certains d'entre eux, comme le repenti terroriste égyptien, Moncef Al ZAyat, joué dans la cour du terrorisme jihadiste, chapeauté par Ben Laden - est constitué des dirigeants les plus radicaux de ces trois "sensibilités".
Le premier et le dernier mot d'ordre semble être la VENGEANCE.
Outre ce sentiment, nul autre démarche ne semble aujourd'hui, animer les dirigeants de Daiich.
TUER POUR TUER ET POUR SE VENGER.
Surtout pas faire de prisonniers. Que ceux ci soient de braves civils irakiens ou syriens ou de belliqueux militaires irakiens ou syriens, ou américains
En cela, les assassins de Daiich ne répondent à aucune classification ayant prévalu par le passé ou retenue aujourd'hui pour ce qui concerne les conflits armés.
Des milliers de soldats irakiens et syriens ont été passés par les armes à ce jour et depuis le déclenchement de l'offensive meurtrière d'Abou Bakr Al Baghdadi.
Et probablement davantage de civils Yazidis, kurdes, chrétiens, chiites et même sunnites refusant la sauvagerie de Daiich.
Les mêmes méthodes de torture subis à Guantanamo sont pratiquées par les géoliers de Daiich.
Daiich ne parle pas et n'exprime aucune revendication claire quant à ses éventuels objectifs stratégiques. Ce la viendra peut être plus tard.....ou jamais
IL TUE, TERRORISE ET CONQUIERT
Ceux, qui, provenant d'Europe, jeunes et même très jeunes en majorité, convergent vers les champs de bataille en Syrie et depuis peu en Irak, se considèrent avant tout comme les laissés pour compte des politiques gouvernementales prônées par les dirigeants de ces Etats.
D'autres, émanant des pays arabes et du Maghreb en particulier, ont acquis la conviction qu'aucune horizon ne pourra leur être offerte chez eux, quant à la promotion d'un avenir prospère et rayonnant.
Il faut avoir visité les commissariats marocains, algériens ou égyptiens pour prendre la mesure de la très grande humiliation et de l'extrême avilissement que subissent des jeunes adolescents, entassés à même le sol de ces lieux d'horreur, dans lesquels, l'être perd plus que sa dignité: SA CONDITION D'HUMAIN
Sans oublier les Mollahs enturbannés d'Iran ou le candidat à cette étrange alliance, que représente Bachar le Chimique. De même que les sionistes israeliens, éradicateurs de tout un peuple
Avouez que cela fait un drôle de couscous aux sept légumes que constitue ce compagnonnage.
Sans oser nous l'avouer à haute voix, certains au sein des états majors politiques occidentaux sont aujourd'hui en train de regretter la très "grande erreur" qui fut la leur, d'avoir troqué l'enfant de choeur Saddam Hussein par l'Etat islamique en Irak et au Levant.
De quoi se compose la direction de Daiich aujourd'hui?
Des courants idéologiques et politiques que rien ne prédisposait à opérer ne serait ce qu'un rapprochement sémantique au départ:
Les Baassistes, héritiers du Saddamisme, avec à leur tête, le rouquin Izzat Al Dourri, détenteur de la fortune du Baas irakien,
Des Cheikhs des grandes familles sunnites, ayant perdu leur prestige et leurs positions au profit des chiites téléguidés par Téhéran,
Des centaines d'anciens détenus de Guantanamo, coupables ou non de terrorisme Qaediste, ayant souffert le martyr sur l'île du diable Castro.
D'autres détenus ayant subi à Bagram, à Abou Ghrib et dans d'autres lieux atroces de détention, les humiliations les plus abjectes qu'un musulman peut accepter.
Surtout si les tortionnaires sont des femmes "mécréantes"
La direction de Daiich est d'après les analystes de l'slamisme violent - analystes ayant, pour certains d'entre eux, comme le repenti terroriste égyptien, Moncef Al ZAyat, joué dans la cour du terrorisme jihadiste, chapeauté par Ben Laden - est constitué des dirigeants les plus radicaux de ces trois "sensibilités".
Le premier et le dernier mot d'ordre semble être la VENGEANCE.
Outre ce sentiment, nul autre démarche ne semble aujourd'hui, animer les dirigeants de Daiich.
TUER POUR TUER ET POUR SE VENGER.
Surtout pas faire de prisonniers. Que ceux ci soient de braves civils irakiens ou syriens ou de belliqueux militaires irakiens ou syriens, ou américains
En cela, les assassins de Daiich ne répondent à aucune classification ayant prévalu par le passé ou retenue aujourd'hui pour ce qui concerne les conflits armés.
Des milliers de soldats irakiens et syriens ont été passés par les armes à ce jour et depuis le déclenchement de l'offensive meurtrière d'Abou Bakr Al Baghdadi.
Et probablement davantage de civils Yazidis, kurdes, chrétiens, chiites et même sunnites refusant la sauvagerie de Daiich.
Les mêmes méthodes de torture subis à Guantanamo sont pratiquées par les géoliers de Daiich.
Daiich ne parle pas et n'exprime aucune revendication claire quant à ses éventuels objectifs stratégiques. Ce la viendra peut être plus tard.....ou jamais
IL TUE, TERRORISE ET CONQUIERT
Ceux, qui, provenant d'Europe, jeunes et même très jeunes en majorité, convergent vers les champs de bataille en Syrie et depuis peu en Irak, se considèrent avant tout comme les laissés pour compte des politiques gouvernementales prônées par les dirigeants de ces Etats.
D'autres, émanant des pays arabes et du Maghreb en particulier, ont acquis la conviction qu'aucune horizon ne pourra leur être offerte chez eux, quant à la promotion d'un avenir prospère et rayonnant.
Il faut avoir visité les commissariats marocains, algériens ou égyptiens pour prendre la mesure de la très grande humiliation et de l'extrême avilissement que subissent des jeunes adolescents, entassés à même le sol de ces lieux d'horreur, dans lesquels, l'être perd plus que sa dignité: SA CONDITION D'HUMAIN
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