Une délégation ten noodoise terrorisée par Kir

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Ma taupe à Eskisehir n'est pas celui à qui vous pensez

Tout d'abord, j'ai postposé la rédaction de l'article relatif à la troisième république ten noodoise, pour les deux raisons suivantes:

1- Je suis très occupé à préparer la prochaine parution du magazine Le Maroxellois qui sortira la première semaine de novembre prochain,

2- Je dois encore vérifier certaines informations qui me sont parvenues récemment et qui ont trait au parcours de l'actuel bourgmestre de Saint Josse.

Ceci étant, je ne me peux m'empêcher de vous communiquer les récentes informations que m'a communiquées, "mon agent" infiltré dans la délégation ten noodoise, ayant effectué le séjour d'Eskisehir.

 Et pour commencer, dès que les premiers articles relatifs à ce jumelage bidon ont commencé à circuler sur ce blog, et compte tenu des précisions apportées par votre serviteur, quant au déroulement de cette visite en Turquie, nombreux furent ceux qui s'intéressèrent sur place à l'identité de "ma taupe".

Certains membres de la délégation plus que d'autres, attirèrent la méfiance du gros du groupe, soupçonnés qu'ils étaient de me fourguer ces informations.

Résultats des courses, cette affaire de taupe provoqua un réel malaise au sein du groupe Ten noodois

Concernant le déroulement de la visite, ce qu'il faut retenir, réside dans le fait que durant les prises de parole (exclusivement en Turc), des deux bourgmestres (Saint Josse et Eskisehir), l'assistance ten noodoise non turque regardait passer les mouches parce qu'aucune traduction simultanée n'était assurée par les autorités d'Eskisehir.

Ce qui constitue un  très grave manquement de Kir à son statut de Belge, et donc sensé s'exprimer en français, comme cela est d'usage lors de toutes les rencontres bilatérales et internationales. 

A charge du pays accueillant de prévoir une traduction dans la langue de la délégation visiteuse.

En conséquence, tant les deux frères Dupond et Dupont, (pardon: Boikete) que l'échevin des relations internationales Jassin alias Ramdani, de même que les participants marocains à cette visite, ont assisté aux speechs en turc, comme des cons.

Les quelques Turcs de la délégation ont tant bien que mal essayé d'expliquer ce qu'ils voulaient bien confier à ces faire valoir, instrumentalisés par Kir.

A Eskisehir, Kir a confié à quelques échevins présents sur place que la décision de retenir Azzouzi à Saint Josse était une sorte de punition, tant les relations entre le bourgmestre et le névrosé Azzouzi, ont depuis quelques mois, du plomb dans l'aile.

Kir fait tout depuis quelque temps pour foutre en l'air le service de la Jeunesse relevant de la compétence de l'échevin Azzouzi.

Le bourgmestre est parvenu aujourd'hui à diviser ce service entre pro Azzouzi et favorables à Kir.

Un climat de fin de règne agite ce service, surtout depuis que pressé par Kir, Azzouzi - et c'est du jamais vu -, pour récompenser les dizaines de jeunes colleurs d'affiches ou leurs parents ayant soutenu la campagne du bourgmestre, a engagé près de 150 animateurs de plaines de jeux durant l'été passé.

Ce nombre de prestataires estivaux n'avait jamais été atteint par le passé. A tel point que lors de certaines activités, le nombre des animateurs dépassait allègrement celui des enfants et des ados à encadrer 

Des jeunes animateurs qui pour plus de 8 heures de travail, ont touché un montant forfaitaire de 40 euros par jour. Une misère (moins de 5 € de l'heure)

Ce qui représente sans doute une infraction à la législation sur le travail étudiant.

Un membre du service de la Jeunesse, souhaitant comme il se doit à Saint Josse, garder l'anonymat, m'a confié que Kir ne cache pas sa volonté de récupérer la compétence Jeunesse, une fois la démonstration faite qu'Azzouzi est incapable de maintenir la  cohésion et la paix au sein de ce service.

Lors de leur dernière assemblée, les délégués syndicaux ten noodois ont bien indiqué le mal qui ronge la commune: La peur et la méfiance instaurées comme le disait Monique Lemusiaux de la CGSP, par les politiciens et leurs collaborateurs.