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...d'être éliminé par les services secrets algériens
Révolté par la mainmise de l'Etat profond, sur les affaires du pays, ce député dit à tous les dirigeants algériens, leurs quatre vérités
"A partir d'aujourd'hui, j'ai décidé de ne plus jamais débattre d'un quelconque projet, soumis à discussion au sein de cette assemblée.
"Car, comment pourrais je débattre des projets pour lesquels des décisions sont déjà prises ailleurs?"
"Comment débattre de ces projets alors que la jeunesse algérienne vit dans un état de misère, alors que l'Etat est assis sur une fortune qui dépasse de loin celle des pays pétroliers du Golfe?"
"Comment débattre de projets au sein d'une assemblée dont le président a déclaré que le meilleur jour de sa vie parlementaire était celui lors duquel il avait accueilli ici même le président Hollande?"
"Comment débattre de projets au moment où depuis deux ans, le président de la république est cliniquement mort et le pays est dirigé par procuration?"
"Comment débattre de projets ici au moment où la police se révolte contre la décision gouvernementale de réprimer la paisible ville de Ghardaïa?"
"Comment débattre lorsque beaucoup de parlementaires ici présents se sentent au paradis lorsqu'ils prennent une photo avec tel ou tel ministre?"
.....
"Comment, comment, comment ?......
Je dois vous avouer que j'ai très peur pour ce parlementaire, connaissant les Picaros mafieux au pouvoir en Algérie.
Ceux là même qui ont fabriqué le terrorisme de la GIA, assassiné Boudiaf et empoisonné Boumédienne?
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