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Il reçoit également la terreur wahabite
Des acteurs marocains menacés de mort
à cause du «Fils de Dieu»
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Les acteurs marocains ayant campé des
rôles dans le film «Le fils de Dieu» (Son of God) sur la vie de Jésus-Christ,
sont menacés de mort sur les réseaux sociaux.
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La censure des films étrangers, au nom de la religion, se poursuit. Voire, elle prend des tournures graves.
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La censure des films étrangers, au nom de la religion, se poursuit. Voire, elle prend des tournures graves.
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Après la «crise» du péplum de Ridley
Scott, «Exodus : Gods and Kings», avant la suppression de certaines scènes pour
qu’il soit autorisé à être projeté au Maroc, les internautes marocains se sont
retrouvés avec des messages sur Facebook et Twitter, s’en prenant farouchement
à des acteurs marocains.
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Said Bey et Rafik Boubker, en particulier, ayant pris part au long-métrage de Ridley Scott, sorti dans les salles obscures en février prochain, ont reçu des menaces de mort sur les réseaux sociaux.
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Said Bey et Rafik Boubker, en particulier, ayant pris part au long-métrage de Ridley Scott, sorti dans les salles obscures en février prochain, ont reçu des menaces de mort sur les réseaux sociaux.
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Assabah qui en rend compte dans son
édition dominicale, cite les propos de Said Bey.
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Lequel a confirmé avoir reçu des menaces de mort via les réseaux sociaux et par téléphone, ainsi que d’avoir été traité d’«apostat».
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Lequel a confirmé avoir reçu des menaces de mort via les réseaux sociaux et par téléphone, ainsi que d’avoir été traité d’«apostat».
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L’acteur a indiqué qu’il s’agissait
d’un «terrorisme intellectuel menaçant la création artistique et la liberté
d’expression».
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Bey souhaite «la protection des artistes marocains de ce genre de menaces.»
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La mainmise du Wahabisme obscurantiste sur la vie des Marocains, n'a jamais été aussi profonde qu'elle ne l'est aujourd'hui.
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Hier, à l'appel du roi du Maroc, commandeur des croyants, des millions de Marocains ont prolongé la prière du vendredi par la prière de l'absent en commémoration à l'âme du despote saoudien Abdellah Ibn Abdelaziz, décédé hier matin.
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Les drapeaux marocains flottant sur les édifices publics, sont en berne pour trois jours pour le même objet.
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Jamais au Maroc, les discours excluant et appelant au meurtre, au nom de la religion, n'ont connu une recrudescence comme c'est le cas aujourd'hui.
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Il n y a guère un ministre d'état marocain avait été tué par un train sans que le souverain marocain n'ordonne la prière de l'absent dans les mosquées du pays.
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Il en fut de même lorsque plus de 60 marocains, décédèrent suite aux graves inondations qui ont ruiné une partie du sud du pays
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Bey souhaite «la protection des artistes marocains de ce genre de menaces.»
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Commentaire de Bruxellois surement
.La mainmise du Wahabisme obscurantiste sur la vie des Marocains, n'a jamais été aussi profonde qu'elle ne l'est aujourd'hui.
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Hier, à l'appel du roi du Maroc, commandeur des croyants, des millions de Marocains ont prolongé la prière du vendredi par la prière de l'absent en commémoration à l'âme du despote saoudien Abdellah Ibn Abdelaziz, décédé hier matin.
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Les drapeaux marocains flottant sur les édifices publics, sont en berne pour trois jours pour le même objet.
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Jamais au Maroc, les discours excluant et appelant au meurtre, au nom de la religion, n'ont connu une recrudescence comme c'est le cas aujourd'hui.
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Il n y a guère un ministre d'état marocain avait été tué par un train sans que le souverain marocain n'ordonne la prière de l'absent dans les mosquées du pays.
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Il en fut de même lorsque plus de 60 marocains, décédèrent suite aux graves inondations qui ont ruiné une partie du sud du pays
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