Les promoteurs de Convergences musulmanes...

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... un ramassis de recalés, candidats informateurs de la police

 

 

 Parce que nombre de ces individus, à l'instar de Rachid Haddach (1), Mustapha Kastit (2) et Malika Hamidi, représentante de Tarik Ramadan en Belgique pour Muslims Network, trois dangereux islamistes, formés à l'école saoudienne - et la liste est loin d 'être exhaustive -, se sentent subitement visés par les mesures répressives en cours de préparation, ils accourent à perdre haleine, pour montrer patte blanche et se mettre sous la protection de la police.

 

Au delà de la phraséologie liée au Vivre ensemble et de la promotion d'un islam modéré et tolérant, le passage qui suit, tiré de la plateforme de cette Convergence,  en dit long sur les objectifs poursuivis par les principaux instigateurs de cette entité:

 

"engager une concertation véritable avec les responsables des communautés musulmanes locales, la police et les services de prévention pour soutenir les actions de protection et de monitoring des actes antiterroristes .....

 

Cette offre de service va au delà de ce que souhaite les services de renseignements de la lutte contre le terrorisme.

 

Les personnes qui ont rejoint, de bonne foi, les initiateurs de cette officine, dont le but est d'offrir un parapluie protecteur à de dangereux extrémistes, doivent faire attention au rôle qu'essaient de leur faire jouer, les initiateurs de cette coordination.
 

 

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(1): (...) Rachid Haddach a été épinglé durement par le soir dans l'article dont extrait ci après, publié en mars 2012 : (Le Soir qui encense dans un article publié avant hier le même Haddach.)


Extrait de l'article:

  

"Haram, je te dis ! Haram ! Des lignes noires sous les yeux, les sourcils épilés ou – pire encore, qu’Allah me protège – du rouge à lèvres ! La voix se tait. Quelques jeunes filles semblent en colère, d’autres ont mis leurs écouteurs sur leurs oreilles.

 

« Chères sœurs, tout ceci, c’est haram », continue la voix.

 

« Et tant que nous sommes occupés avec l’apparence physique : vous, mes frères, portez des pantalons qui tombent par-dessus vos chevilles. C’est ce que le prophète recommande.

 

Et laissez pousser votre barbe. »

 

Rachid Haddach – la voix – toussote et continue. « Il y en a qui font la fête jusqu’au matin. Mes frères et sœurs, ça aussi, c’est haram. Il y a des hommes et des femmes qui dansent à des fêtes de mariage, souvent pendant toute la nuit ! Ceux-là vont devoir un jour rendre des comptes.»

 

Rachid Haddach est un des prédicateurs salafistes les plus populaires à Bruxelles.

Il donne ici, à la mosquée Assouna à Anderlecht, une conférence sur le thème « mes actions dans la balance », en d’autres mots : ce que vous faites ici sur terre aura un impact sur votre vie dans l’au-delà.

 

Son public est séparé en deux groupes : les hommes sont assis à l’avant, devant lui, sur le sol de la mosquée.

 

Les femmes sont en haut, dans une petite salle à part au premier étage. Ils sont tous suspendus à ses lèvres.

 

Haddach les appelle « mes sœurs et mes frères », comme il convient de le faire dans une mosquée qui se respecte.

 

Les « frères » sont, en ce vendredi soir, quelques centaines. Des jeunes gens costauds en costume de rue, avec des sneakers et des casquettes de base-ball.

 

Des adolescents boutonneux avec des kufis et des tuniques longues. Des jeunes avec des longues barbes, des cheveux coupés très court et, comme le prescrit le salafisme, avec des pantalons qui recouvrent leurs chevilles.

 

Du côté des « sœurs », il n’y a que quelques dizaines de jeunes filles et jeunes femmes. Leurs cheveux sont recouverts d’un hijab de couleur foncée, et elles sont revêtues d’un long manteau. Ou encore, elles portent un jilbab, une robe longue et ample. D’autres encore portent une abaya, un tissu noir qui ne laisse que le visage et les mains libres (...)

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(2:) Mustapha Kastit est un cadre du très wahabite Centre islamique et culturel de Belgique, situé au Parc bruxellois, du cinquantenaire

Sa mission au sein de ce Centre est d'accueillir et de former les candidats non musulmans à la conversion à l'islam.

Lorsqu'on sait que nombre de ces convertis se sont retrouvés dans des réseaux de recrutement de jihadistes, on ne peut que se "féliciter" de la formation dispensée par Kastit à ces jeunes

Relevons d'autre part que Kastit a encadré au Centre islamique ledit Ilyas Azaouaj, exécuté pour trahison et espionnage, en Syrie par les assassins de l'état islamique.

Cet encadrement avait consisté en la formation de ce jeune prédicateur, dans la ligne jihadiste, qui l'a conduit, "tout naturellement" à opter pour la Nosra (le soutien), du terrorisme islamiste en Syrie et en Irak

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Conclusion:


Fatima Zibouh, Michael Privot et autre Hajjaji  se foutent les doigts dans l'œil s'ils pensent un seul instant qu'ils vont pouvoir recadrer ce genre d'individus dangereux.

Rendez vous est pris avec les lecteurs de Bruxellois surement, pour le prochain et inévitable putsch que ces salafistes ne tarderont pas à fomenter contre les "modérés" de cette drôle de Convergence musulmane.

Le ver est largement dans le fruit  et un homme ou femme avertis en valent deux .