Le ministre polygame Choubani, contesté de toutes parts, se prépare à vider les lieux
L'homme en général et l'homme musulman en particulier, fut il ministre, a un sérieux problème avec le femme qui habite sa tête
Voici ce qu'écrit Kamal Naim à son sujet
La scène n’est pas nouvelle.
On a
déjà vu Abdalilah Benkirane, à l’époque seulement député, sortir de ses
préservatifs à la vue d’une camérawoman de 2M habillée en chemisier
débardeur libérant aux quatre vents ses bras généreux, ciselés par le
port de la lourde caméra.
Devant pareil spectacle, les plus ordinaires
du commun des mortels émettent un sifflement admiratif, une sorte de
vulgaire invitation à quelque chose que la sémantique du sifflement tait
et dit en même temps.
Dans la même situation, un islamiste hurle,
vocifère, mais ce n’est guère une insulte, seulement l’expression d’une
envie d’orgasme si forte qu’elle en devient douloureuse et donc
irrépressible.
Un talon aiguille et ce sont les aiguillons de sa libido
qui entrent en ébullition. On le sait, les islamistes ont la femme dans
la peau et son attirance à fleur.
Quand ils la couvrent d’un voile là où
d’autres la couvriraient de tendres baisers, c’est, ils le disent, pour
s’en protéger et la protéger.
Car à la moindre vue d’un carré de chair
suave, le viol n’est jamais loin.
Alors pourquoi les provoquer et les
exposer à un péché promis religieusement à l’enfer de l’au-delà doublé
d’un délit pénal punissable dans l’au-dessous.
La femme c’est Satan vêtu
des atours de la tentation pour les priver des vierges promises de
l’Eden et du paradis.
Si j’ai bien compris le récit, la
journaliste de Assimapost, Khadija Rahal, bien potelée si je m’en
remets aux photos, habillée d’une robe bleu qui lui arrivait aux genoux,
montait les escaliers quand de leur bas, le ministre des relations
avec le parlement, Lahbib Choubani, l’a interpelée pour lui reprocher sa
tenue.
Pour tout le monde Khadija était décemment habillée et si ce
tout le monde affirme ça, c’est uniquement parce qu’il n’a pas vu ce que
le ministre a vu du bas de l’escalier.
Un gros plan, zoom et traveling
oculaire sur la rampe de l’escalier, les yeux sortant de leurs orbites
comme dans les dessins animés.
Vous voyez un peu L’Origine du monde de
Courbet, sinon cherchez sur Internet, eh bien c’est exactement ça mais
en verticale.
Choubani est un pauvre humain, les mains moites, il lui
crie dessus, mais ce n’est pas ce qu’il voulait.
Seulement, il est
timide, maladroit, déjà troublé par le panorama qui s’offrait à lui, il
ne sait comment l’aborder.
Dans sa tradition, un contact avec une femme
c’est en présence de son père et deux Adouls, quand il en désire une
autre, il en prend une deuxième, troisième, quatrième et quand il
atteint le trop-plein, il en répudie trois et en prend trois autres.
C’est halal, conforme à la parole de Dieu et de son prophète et on en
prend ainsi autant qu’on en veut ici-bas tout en gardant des chances
d’en avoir autant qu’on en voudra là-haut.
Commentaire de Bruxellois surement
Pour en revenir à un registre plus "poli - tique", rappelons à tous les Makhzaniens de Belgique, le passage à Bruxelles de ce ministre, porteur d'un "grand débat" national, relatif à la participation de la société civile.
Il était accompagné du vieux dirigeant communiste, Moulay Ismail El Alaoui et d'un parlementaire PJD, condamné pour avoir participé au meurtre d'un militant de la gauche marocaine.
Ils ont raconté des tas de blagues à tous ceux qui espèrent toujours devenir parlementaires au Maroc et représenter ainsi les "Marocains du monde"
Et puis Pschchitt, plus rien
Société civile? Circulez, il n y a rein à voir
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