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"Joelle Milquet me soutient"
Autant dire "du vent"
Autant dire "du vent"
Mahinur Özdemir était l'invitée de Télé Bruxelles ce 1er juin. L'élue du CDH qui avait refusé de reconnaître le génocide arménien a de nouveau réagi à son éviction du parti.
Quand on lui demande s'il existe aujourd'hui un clivage au sein du CDH, Mme Özdemir répond sans détour: "Il y a un clivage que l'on ressent de plus en plus, surtout avec l'arrivée du président [Benoît Lutgen, NDLR]" (un extrait à voir en vidéo en cliquant ici).
L'élue évincée en profite pour déplorer que M. Lutgen n'ait pas pris contact avec elle au plus fort de la polémique.
A l'inverse, elle révèle que Joëlle Milquet qu'elle connait "depuis près de 10 ans" ne l'a pas abandonnée.
"J'ai eu Joëlle Milquet qui m'a fait part de son soutien, comme d'autres [...] Elle fait partie d'un parti politique, mais aujourd'hui elle est triste en tant que personne."
Commentaire de Bruxellois surement
Mahinur parle beaucoup, trop même. Et elle aggrave son cas.
Essayer d'opposer Lutgen à Milquet, c'est perdu d'avance et c'est maladroit de la part de la copine de Milquet.
Elle ne comprend pas que l'ère Milquet est terminée et que Joelle ne peut rien pour elle. Sa jeune carrière s'arrête là
L'époque Milquet où l'ancienne présidente imposait ses allochtones au parti et le foulard au parlement bruxellois
est révolue
Mampaka et Fassi Fihri qui se taisent dans toutes les langues l'ont compris et essaient de s'adapter au nouveau régime.
Le Cdh fonctionne comme tous les autres partis classiques: C'est le président qui a le dernier mot
Milquet ou pas Milquet, le Cdh ne la reprendra plus et aucun parti ne voudra d'elle, si ce n'est l'AKP d'Erdogan.
Elle finira par se fatiguer au parlement car tous les partis de la majorité bruxelloise dresseront autour d'elle un cordon sanitaire.
Surtout lorsque le parlement fédéral aura voté en fin de cette année, la proposition de loi reconnaissant le génocide arménien
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