samedi 29 août 2015

Le roi Mohammed VI piège le journaliste qui avait encensé son défunt père





Eric Laurent, auteur de "Mémoire d'un Roi", du temps de Hassan II, pris la main dans le sac


Des mois,  il était resté l'invité du roi Hassan II lorsqu' à la fin des années 1980, il avait brossé du défunt monarque un portrait des plus élogieux, dans un bouquin, considéré à cette époque comme la "digne réponse" au brûlot publié par Gilles Perrault, "Notre ami le Roi"

Il y a cinq ans il avait voulu récidiver avec l'actuel souverain en prétendant disposer de la suite de son ouvrage Mémoire d'un Roi, mais Mohammed VI avait refusé son "offre" très intéressée et l'avait éconduit.

Fâché par cette réaction royale qui ne le satisfit point, Eric Laurent, s'était fendu en 2012 d'un "ouvrage" complètement bâclé et par trop généraliste et dénué de précisions, qu'il intitula le Roi prédateur 

Mohammed VI ne crut pas bon de réagir à ce qu'il considéra comme un fatra d'accusations non étayées par des preuves sur sa fortune personnelle et ses activités dans les secteurs du  privé.

Manifestement à court d'argent, et contrarié par le refus du roi de le sucrer par une partie de sa fortune, Eric Laurant, embarque avec lui une journaliste française très amie de Boubker Jammai, et décide de frapper un grand coup:

La "non publication d'un ouvrage sensationnel" sur le roi Mohammed VI contre la remise par le Palais en mains "propres", de 3 millions d'Euros.

L'avocat du roi qui s'est présenté récemment au rendez vous fixé par Eric Lautent remit à ce dernier après discussion et marchandage, dans un lieu public parisien, 80000 € comme acompte

Les deux journalistes reçurent la promesse de se voir compléter le montant convenu sous peu, soit 1 million d'€.

 Tout cela enregistré par l'avocat royal et filmé de très près par la police française.

Laurent qui pensait extorquer par le chantage un million d'€ au monarque marocain, est à l'heure où cet article est rédigé en train de méditer dans une cellule française sur le danger de ses liaisons et autre fréquentations dangereuses.

Certaines mauvaises langues n'hésitent pas à parler dans ce dossier de commanditaires particulièrement hostiles aux intérêts du Maroc et du Palais en particulier

Affaire à suivre

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