Non seulement ils ont laissé proliférer la peste terroriste...

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...mais nos politiciens abdiquent aujourd'hui face à Daech

 Parlement fédéral

Parlement flamand 

Parlement bruxellois
Sans oublier le parlement de la communauté française, le germanophone et celui de la Cocof, Cocom et Cocoon....

Toutes ces assemblées nous disent aujourd'hui de nous habituer au terrorisme et que le risque zéro n'existe pas pas (Brrrrrrrrrrrr)

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En annulant la rencontre amicale Belgique - Espagne qui devait avoir lieu hier, nos autorités fédérales et footballistiques ont reconnu une seconde défaite face à la guerre que nous livre Daech

C'était la dernière chose à faire dans ce concert de lâchetés et d'incuries auquel nous ont habitués les autorités publiques belges, tous niveaux de pouvoirs confondus.

Annuler ce match après les terribles ratés enregistrés dans la lutte contre les cellules terroristes de Molenbeek et la complaisance complice face aux discours obscurantistes, tenus par de nombreux imams de mosquées bruxelloises, revient à reconnaître à Daech, une victoire éclatante dans le déroulement de notre vie culturelle et de nos loisirs. 

Désormais, ce sera à Daech de décider quand mes enfants pourront aller à l'école, quand les cinéphiles pourront fréquenter les salles de cinéma, quand les navetteurs pourront prendre les trains et quand les grandes surfaces pourront ouvrir leurs portes

Au moins, le gouvernement pourra interdire les grèves et les manifs sous le prétexte d'assurer la sécurité des ouvriers grévistes et des manifestants 

C'est une manifestation défaitiste en rase campagne face à quelques cellules terroristes formées de minables et de schizophrènes islamistes

Où nichent désormais ces vaillants politiciens qui proclamaient il n  y a guère: "Nous ne laisserons jamais à Daech ou à Al Qaeda, le soin de diriger nos vies. La meilleure des réponses à donner aux terroristes, est de continuer à vaquer normalement et sans restrictions à nos occupations".

Ce genre de messages a désormais fait place à l'expression : "courage, fuyons"

Et qu'est ce qu'on entend depuis quelques jours sur les plateaux des télévisions venant de politiciens qui "en ont" ou en tout cas "en avaient", jusqu'à il y a peu (style Denis Ducarme)?: " Il faut que nous soyons francs et clairs avec nos concitoyens: le risque zéro en matière de terrorisme n'existe pas et il faudra que nous nous habituions à vivre avec " (RTBF )

Comme je me sens "rassuré" en entendant ce discours sortir de la bouche du chef du groupe MR au parlement fédéral.

Donc, selon vous monsieur le vaillant "chef" de ce groupe de parasites qui ne sont pas foutus d'assurer notre sécurité contre une poignée de fous furieux incultes,  je dois m'habituer à vivre avec la peur au ventre et à regarder en permanence autour de moi dans la rame du métro ou le wagon du train ou à m'enfermer dans ma mansarde

Quel beau message envoie ce type dont le parti se trouve à la tête de nos affaires et qui est censé, compte tenu de la dotation octroyée via nos contributions au fonctionnement du MR et aux défraiements des légions de députés, veiller sur ma sécurité et défendre ma liberté.

Plus que ma crainte d'être touché par les balles des assassins de Daech ou par les éclats de leurs explosifs portés en ceinture, c'est plus cette démission et cette lâcheté politiciennes qui me font peur aujourd'hui, moi qui suis prêt à continuer à vivre normalement ma vie culturelle, sportive, et à vaquer à mes loisirs

A quoi servent donc ces femmes et ces hommes que nous choisissons parmi les "meilleurs" pour veiller avant toute chose à assurer la protection de nos enfants et à nous permettre de vivre en sécurité?

Moureaux lui, a semé sur le chemin de ces héritiers, de véritables bombes à fragmentation, comme le fait Daech quand elle décide s'abandonner une ville conquise. 

Des bombes qui explosent aujourd'hui (au sens propre) sur le chemin de notre vie et qui menacent notre cohésion sociale et notre désir d'un super Vivre ensemble

Le vrai cerveau de cette catastrophe n'est pas Abaoud ou Salah mais le cynique Philippe Moureaux Al Baghdadi qui se délecte de cette situation, avec l'air de celui qui dit : "Vous voyez, en me chassant du pouvoir à Molenbeek, vous avez provoqué ma colère et aujourd'hui ma vengeance". 

Je vous le dis : C'est un fou