Vous voulez tout savoir ?...

..Eh bien, allons y

1- Le "projet" des bulles "porté" par Saidi, Benzine et Privot a été élaboré sous la supervision de Hassan Bousetta (PS) et de son article 193.

S'est associé à cette élaboration, le beau frère de Bousetta Hassan, à savoir le très PS et néanmoins khoubziste Ahmed Laaouej et son Espace Magh.

Et donc comme vous pouvez le constater, avant d'être celui des trois zigotos Saidi, Benzine et Privot, ce  projet est une création de deux khoubzistes du PS.

2- Bousetta est un très grand ami de Benzine qu'il rencontre chaque fois qu'il est invité par le CCME au Maroc.

Pour le surplus et concernant Hassan Bousetta, tous les observateurs du débat autour de l'islam belge, retiennent encore de lui, sa néfaste intervention à la demande d'Onkelinx, en 2005, qui fut fatale à l'expérience de l'Exécutif des Musulmans de Belgique.

Obéissant au doigt et à l'oeil à Onkelinx qui lui avait accolé son ex mari Abbes Guenned, Bousetta exercera à cette occasion, une terrible pression sur nombre de membres de l'organe chef de culte afin de les obliger à accepter des élections générales à mi mandat de l'EMB, alors que l'arrêté royal reconnaissant cet organe précisait qu'à mi mandat, l'EMB se devait de remplacer un tiers de ses membres.

Depuis cette époque, l'organe chef du culte musulman ne se relèvera pas de cette immixtion flagrante de la ministre de la justice, qui avait cherché surtout à confier cet organe à des amis politiques proches du PS bruxellois. 

Bousetta est aussi un grand ami de Farid Lasri, qui lui-même est un grand admirateur de Benzine.

Cette affaire de bulles qui a suscité la "colère" de Vervoort, est une pure construction du PS et si le ministre président de la région bruxelloise a cru opportun de la soutenir, c'est uniquement parce que les deux beaux frères khoubzistes du PS le lui ont demandé avec insistance.

Quant au motif réel du retrait de Ismael Saidi de cette embrouille, celui ci réside dans le fait que Privot a refusé de cautionner la récente sortie médiatique du djiahiste Saidi lorsque celui ci a dit que "le Coran n'impose pas le port du foulard".

Il n'en fallait pas plus pour susciter la colère du Frèriste Privot dont l'essentiel de la famille de sexe féminin de Verviers et d'ailleurs tient plus que tout au port de ce fichu, dit "islamique".

De plus, mû par un instinct développé de conservation, Saidi s'est rendu compte suite à cet "incident", que le Coran est un ouvrage non réformable, comme tous les autres ouvrages fondateurs des religions, en tout cas pas par les temps qui courent.

Et que n'étant pas théologien, il lui est très difficile de s'inscrire dans cette démarche "réformatrice" à travers des bulles.

Sur la toile, dès lors qu'Ismail Saidi eut abordé  l'affaire du foulard dans le Coran, il eut droit à une avalanche d'attaques tant sur sa personne que sur son "projet".

Ces attaques furent initiées par tout ce que la nébuleuse frèriste compte comme "agents" d'influence en Belgique.

Elles furent relayées par tous les khoubzistes, habitués aux subsides et autres subventions régionaux qui se sont sentis oubliés par le pouvoir régional aux mains du PS.

kechat, oubrou, bencheikh, benzine, abdelkrim, sorel, keita
(Recalé et sans débouché au Maroc et à la recherche d'un job rémunéré, Rachid Benzine s'est jeté dans les bras des Frères musulmans d'Europe)

Voici d'ailleurs ce qu'avait déclaré en janvier 2015 Hassan Bousetta au Vif, considérant que Eric Zemmour figurait parmi les "gens raisonnables" : 

Le Vif/L'Express : "Aux tueurs, nous disons qu'ils nous trouveront en travers de leur chemin, au côté de la liberté", proclame un appel que vous avez cosigné, dans Le Monde, avec l'écrivain Salman Rushdie, l'islamologue Rachid Benzine, la réalisatrice Nadine Labaki et d'autres encore. Quel était le sens de votre démarche ?

Hassan Bousetta : La plupart des signataires ont des racines arabes. Beaucoup sont parisiens. Il y a des Franco-marocains, des Franco-algériens, mais aussi des gens qui vivent à Rabat ou à Tunis, ainsi que des Palestiniens, des Turcs, des Libanais. Toute une élite qui se sent piégée dans le débat actuel - les salafistes d'un côté, Eric Zemmour de l'autre. Des gens raisonnables qui croient dans une certaine modernité et qui seront nécessaires quand une parole sage pourra revenir, car je crains qu'on soit maintenant dans une période où la peur va prendre le dessus.