lundi 6 juillet 2020

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...La participation politique des "cadres" issus de l'immigration marocaine est un échec

Introduction

Avant le milieu des années 1990 et surtout avant le scrutin communal de 1994 qui a permis à nombre de cadres issus de l'immigration d'émerger sur la scène politique bruxelloise, aucun parti démocratique n'avait promu ou encouragé ces acteurs agissant au sein de l'associatif à s'impliquer dans l'action politique.

L'intérêt des partis politiques envers ce public se manifesta suite à la série d'aménagements législatifs visant à faciliter l'accès à la nationalité

Ce processus a démarré  par la fameuse loi Gol, votée en 1985 par le parlement de notre pays. Laquelle loi alla faciliter cet accès pour des milliers de jeunes et surtout d'enfants dont l'un des auteurs était né en Belgique.

Des la promulgation de cette mesure, le nombre d'enfants nés en Belgique qui bénéficia de cet accès automatique par voie d'attribution à la nationalité belge connut un bond phénoménal (1).


Suivra l'adoption en 1989, de la proposition Yvan Mayeur qui donna lieu à l'abrogation du régime des deux nationalités (la petite et la grande). cette mesure mettait ainsi tous les Belges au même niveau de droits et de devoirs.

Le nombre  de Nouveaux belges augmentant sans cesse, les partis démocratiques qui votaient une décennie plus tôt, des mesures restrictives et discriminatoires à l'encontre des immigrés, comme le refus de l'inscription de ces derniers au registre de la population, allaient revoir leurs "classiques".

L'électorat de plus en plus nombreux qui se présentait ainsi sur la scène politique bruxelloise poussa les dirigeants locaux de ces partis, surtout au sein des communes à forte présence allochtone, à lorgner vers ce nouveau public électeur.

Le PS et dans une mesure moindre, le CDH, fut le parti qui s'investit dans la dynamique implicatrice des nouveaux belges dans l'action politique représentative.

Le scrutin communal de 2000 donna lieu à un nombre non négligeable de jeunes Belgo marocains s'étant présentés sur les listes du PS de siéger à Bruxelles 1000, Saint Josse, Saint Gilles, Schaerbeek et autre Forest


Critères de recrutement des candidats.

A Bruxelles, un nombre important de ces nouveaux Belges actifs au sein du tissu associatif agissant en milieu immigrés et conséquemment en relation avec les responsables de sections locales du PS (Saint Josse, Molenbeek, Bruxelles 1000 et Schaerbeek), ou émargeant à certains contrats communaux à à connotation socio culturelle furent sollicités par les leaders politiques dirigeant ces sections.

Feus Guy Cudell à Saint Josse et Philippe Moureaux à Molenbeek furent les plus volontaristes dans l'initiation de cette dynamique participative

Quant aux critères ayant été à la base de ces recrutements, seule la proximité fut retenue pour impliquer les  Néo belges dans cette dynamique.     

la qualité
...La participation politique des "cadres" issus de l'immigration marocaine est un échec

Introduction

Avant le milieu des années 1990 et surtout avant le scrutin communal de 1994 qui a permis à nombre de cadres issus de l'immigration d'émerger sur la scène politique bruxelloise, aucun parti démocratique n'avait promu ou encouragé ces acteurs agissant au sein de l'associatif à s'impliquer dans l'action politique.

L'intérêt des partis politiques envers ce public se manifesta suite à la série d'aménagements législatifs visant à faciliter l'accès à la nationalité

Ce processus a démarré  par la fameuse loi Gol, votée en 1985 par le parlement de notre pays. Laquelle loi alla faciliter cet accès pour des milliers de jeunes et surtout d'enfants dont l'un des auteurs était né en Belgique.

Des la promulgation de cette mesure, le nombre d'enfants nés en Belgique qui bénéficia de cet accès automatique par voie d'attribution à la nationalité belge connut un bond phénoménal (1).


Suivra l'adoption en 1989, de la proposition Yvan Mayeur qui donna lieu à l'abrogation du régime des deux nationalités (la petite et la grande). cette mesure mettait ainsi tous les Belges au même niveau de droits et de devoirs.

Le nombre  de Nouveaux belges augmentant sans cesse, les partis démocratiques qui votaient une décennie plus tôt, des mesures restrictives et discriminatoires à l'encontre des immigrés, comme le refus de l'inscription de ces derniers au registre de la population, allaient revoir leurs "classiques".

L'électorat de plus en plus nombreux qui se présentait ainsi sur la scène politique bruxelloise poussa les dirigeants locaux de ces partis, surtout au sein des communes à forte présence allochtone, à lorgner vers ce nouveau public électeur.

Le PS et dans une mesure moindre, le CDH, fut le parti qui s'investit dans la dynamique implicatrice des nouveaux belges dans l'action politique représentative.

Le scrutin communal de 2000 donna lieu à un nombre non négligeable de jeunes Belgo marocains s'étant présentés sur les listes du PS de siéger à Bruxelles 1000, Saint Josse, Saint Gilles, Schaerbeek et autre Forest


Critères de recrutement des candidats.

A Bruxelles, un nombre important de ces nouveaux Belges actifs au sein du tissu associatif agissant en milieu immigrés et conséquemment en relation avec les responsables de sections locales du PS (Saint Josse, Molenbeek, Bruxelles 1000 et Schaerbeek), ou émargeant à certains contrats communaux à à connotation socio culturelle furent sollicités par les leaders politiques dirigeant ces sections.

Feus Guy Cudell à Saint Josse et Philippe Moureaux à Molenbeek furent les plus volontaristes dans l'initiation de cette dynamique participative

Quant aux critères ayant été à la base de ces recrutements, seule la proximité fut retenue pour impliquer les  Néo belges dans cette dynamique.     

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