jeudi 17 décembre 2020

Le Maroc est démasqué en Europe...

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Ses agents "secrets" sont montrés du doigt


Abdelbaqi Essaty, stratège de l'attentat de Cambrils (Catalogne) était un agent des services des renseignements marocains



Le ministère marocain des Habous et des Affaires religieuses qui coordonne les activités des agents des renseignements marocains a l'étranger ne doit pas être heureux.  

Son patron, le roi Mohammed VI non plus.

Pour cause, la perte de l'important bastion islamiste marocain qu'est le Centre islamique et culturel de Belgique, connu sous le nom de Grande mosquée de Bruxelles.

Ce ministre régalien qui dépend en ligne directe de l'autorité du commandeur des croyants doit sûrement être furieux contre l'une de ses plus brillantes taupes, le sieur Salah Echallaoui.

Son agent à Bruxelles a salopé l'opération de prise en main par le Maroc de ce centre dont l'importance était vitale pour le Maroc dans son souci de contrôler et d'espionner les Marocains de Belgique. 

Echallaoui qui coordonne la politique religieuse marocaine en Belgique sous la supervision d'Abdellah Boussouf, actuel secrétaire général du Conseil royal des Marocains à l'étranger, a ramassé une raclette en plein dans la g.....

Ses activités d'espionnage qui visaient à débaucher pour les Moukhabarate marocains des agents Belgo-marocains travaillant pour les services policiers belges ont lamentablement échoué 

La Sureté de l'etat belge s'est rebiffée contre de tels procédés puisque toutes demandes d'informations entre les services des deux pays obéissent à des règles très strictes et en tout cas n'admettent pas le débauchage du Maroc, d'agents des services policiers belges.

Sauf que les taupes marocaines en Belgique pensent pouvoir utiliser les vieilles méthodes en vigueur dans le royaume couscoussier qu'est le Maroc

Avec la suspension de l'opération visant à prendre possession du centre islamique, le Maroc reçoit un coup très dur et un avertissement pour l'avenir.

L'Europe est de plus en plus consciente du jeu trouble marocain en matière de lutte contre le terrorisme.

Les services des renseignements européens ont compris la stratégie marocaine qui vise à soutirer des millions à l'Europe sous le titre fallacieux de la lutte contre le terrorisme.

Les fonctionnaires européens, surtout français, belges et espagnols qui suivent minutieusement les activités des services anti terroristes marocains savent aujourd'hui que les pseudo démantèlements des cellules "terroristes" dormantes constituent des leurres, puisqu'après les arrestations hollywoodiennes de membres de ces cellules prétendument terroristes, cellules qui sont apparues il y a dix ans, aucune des personnes arrêtées n'a comparu devant un juge. 

Seuls les assassins des deux jeunes filles scandinaves l'année passée ont eu droit à un procès expéditif.

Quand on sait la position de la Norvège et du Danemark, hostile à la thèse marocaine relative à la marocanité du Sahara, on ne peut qu'être étonnés de la "défaillance" des services anti terroristes marocains dans cette affaire nébuleuse.

Récemment, dans une France qui a décidé de prendre le taureau par les cornes et d'appeler "un chat, un chat", est un islamiste, un soutien au terrorisme, la grande mosquée de Montpellier achetée par les Habous marocains sous la supervision de Boussouf, vient d'échapper au Maroc.

L'affaire des attentats de Barcelone organisée de bout en bout par l'imam  de Cambrils, Abdelbaqi Essaty, a révélé au grand jour l'implication des services marocains. 

Cet imam qui avait été emprisonné à Madrid a vu bizarrement sa peine annulée...pour se retrouver à la tête de la mosquée de Cambrils d'où sont partis les jeunes marocains qui ont commis les attentats de Barcelone.

Bizarrement, avant cette attaque perpétrée en Catalogne, l'imam Essaty s'était retrouvé en Belgique, quelques semaines avant les attentats de Bruxelles. 

Il fut engagé lors de son séjour belge comme imam de la mosquée de Diegem, située (comme par hasard) à un jet d'arbalète de l'aéroport de Bruxelles national qui fut l'objet d'un attentat islamiste particulièrement sanglant.

Les informations des services sécuritaires belges et espagnols dévoilent qu'Essaty dut sa libération de la prison madrilène grâce à l'intervention discrète du Maroc.




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Onze novembre 1918...