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... se trouvent dans un important tournant de leur histoire
Belges à part entière, une fois !
Désormais, les citoyens belges qu'on qualifie "d'origine marocaine" doivent rejeter cette qualification et assumer leur statut de Belges à part entière. Cela prendra sûrement du temps, mais le chemin est désormais tracé.
Le gouvernement du Maroc qui prétend maintenir ad vitam eternam ces Belges d'ascendance lointaine marocaine, sous sa tutelle pesante, doit intégrer cette donne et cesser de s'immiscer et de s'ingérer dans leur vécu politique, culturel et cultuel
Cette tutelle étouffante n'a que trop duré
Vincent Van Quickenborne (VVQB): un résistant!
Contrairement à tous ceux qui l'ont précédé à la Justice, département chargé également des cultes, le ministre VVQB aura joué un rôle déterminant dans cette mutation historique
Menacé dans son intégrité physique et celle de sa famille, contraint de s'adjoindre une protection policière rapprochée et bravant les oppositions émanant d'autres partis politiques mis sous pressions par le Maroc, VVQB a vu son appel aux Belges de confession musulmane enfin rencontré.
Puissent les Belges de confession musulmane, en particulier ceux d'ascendance marocaine, résister à leur tour aux intimidations, aux menaces de représailles et aux tentatives de soudoiement et de corruption qui ne tarderont pas à s'exercer à leur encontre par les agents du gouvernement marocain, réticents aujourd'hui à rendre aux Musulmans de notre pays un outil qui leur appartient.
Van Quickenborne est venu à bout de cette ingérence étrangère dans les affaires des Belges de confession musulmane; situation qui paraissait à tous comme un fatalité.
Cette ingérence a débuté en 1967 lorsque les autorités belges de cette époque échangèrent salamalecs et amabilités sentant l'odeur de l'or noir avec le roi Fayçal de l'Arabie salafiste.
Cette même ingérence ou plutôt mise sous coupe réglée de l'islam belge a continué par un changement de partenaires étrangers: l'Arabie fut remplacée par le Maroc et la Turquie.
La peur de voir se réveiller en Belgique des cellules radicales et terroristes dormantes; peur savamment entretenue par les officiels et les agents d'influence à la solde du Maroc, a tétanisé les pouvoirs publics belges durant près de deux décénnies.
Onkelinx, Milquet, en passant par Turtelboom et surtout Geens, ont choisi de se rendre sans coup férir au chantage marocain.
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Gagner le pari de l'avenir: celui de l'indépendance
Rideau, les acteurs agissant pour ordre et les "taupes" des états étrangers sont désormais mis hors d'état de nuire. Ou presque !
Non sans avoir causé de monstrueux dégâts dans les rapports tranquilles et empreints de respect mutuel, que les immigrés musulmans de la première génération avaient tissés dans les années soixante et septante du siècle écoulé au sein de la société belge.
Malgré le terrible coup de massue qu'ils viennent de recevoir, les Ustun, Smaili, Beyazgul et autre Echallaoui, continuent désespérément de s'accrocher à l'épave qui s'approche des rapides.
Ils persistent à croire n'avoir pas encore rendu totalement l'âme.
La mentalité d'un Echallaoui, inculquée par l'école du Makhzen marocain, lui dictera toujours de considérer que son règne sur l'institution EMB, doit demeurer pour l'éternité. Que cette institution est sa chose, sa propriété privée.
Imaginer un seul instant que l'organe chef du culte islamique puisse passer à d'autres mains n'est pas dans l'ADN de ceux qui ont été pétris dans l'école makhzanienne.
Cette école qui estime régner par la volonté divine.
L'Etat de droit est plus fort que la terreur
Les deux arrêts prononcés jeudi passé par le Conseil d'Etat en réponse aux recours en extrême urgence introduits par la bande des loosers que sont Ustun, Echallaoui et consorts, ont été recalés sans de grands débats.
D'abord, parce que la qualité des plaignants, ramassés à la va vite sur le bord du chemin, n'a pas trompé la vigilance des juges.
De fait, qu'ont à voir avec les instances de l'EMB, de son bureau ou de ses autres appendices, des individus tels que Mesbah Hassan, Gjanaj Ramadan et nombre de ceux figurant sur la liste reprise ci après:
Ensuite, parce le gouvernement belge peut, s'il le veut, changer d'interlocuteur pour ce qui concerne les affaires dont il a la compétence et la gestion et qu'aucune juridiction ou état étranger ne peut l'en empêcher.
Dans tous les cas, c'est un échec. Si l emb reste, c'est garder un organisme qui ne correspond pas au fideles. Si le CSM reste il s'agit de remplacer un âne par un mulet.gageons que notre cher ministre dissoudra. L'église catholique pour en proposer une à l'image de la Belgique et pas du Vatican.
RépondreSupprimerEt pourquoi pas dissoudre le consistoire juif pendant qu'il y est. Plus sérieusement, si les protagonistes qui s'expriment au nom des Musulmans avaient un tant soit peu de sagesse, ils auraient pu travailler en harmonie et la main dans la main
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