Ahmed Laaouej a commis une agression

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...contre l'histoire de la Belgique et de l'Europe

 

                      Bannie la rue de l'armistice à Koekelberg 

 

réagissant à mon article, Ahmed Laaouej nous apprend qu'un appendice de la rue de l'Armistice subsiste à Koekelberg. Un armistice au rabais

                               Ahmed Laaouej

@AhmedLaaouej

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1h

                      Pour répondre à une critique regrettant la disparition du symbole de    l’Armistice, nous préservons bien une rue de l’Armistice. Se composant de trois tronçons, seuls deux de ses trois tronçons sont féminisés. Il subsistera donc toujours une rue de l’Armistice à Koekelberg !

Au moment où nous avons tant besoin d'inculquer à nos enfants, et surtout à ceux issus de l'immigration, les souvenirs des grands évènements de l'histoire de notre Belgique, de leur apprendre que la terrible guerre de 14 - 18 a engendré près de 10.000.000 (dix millions) de morts, un bourgmestre "marocain" d'une commune minuscule, ose piétiner un fait importantissime lié à cette histoire: l'Armistice signé le 11 novembre 1918. 

 

 

Les vaillants soldats belges dans les tranchées lors de la Grande guerre

 

Avant lui, un autre élu, démagogue et inculte, du nom de Jamal Ikazban, issu de la même communauté et émargeant au même parti politique que ce maïeur, avait placé la Bataille de Verdun entre 1940 et 1945, la confondant avec celle de Gembloux à laquelle participèrent des goumiers marocains incorporés au sein de l'armée française et qu'il visite chaque année au mois de mai

 

                                             

Quand l'inculture conduit à une confusion coupable

 

 

Ces deux élus régionaux marocains (Fadila Laanan et Jamal Ikazban) qui commémorent chaque année le souvenir des Marocains morts à Gembloux n'ont jamais été aperçus le 11 novembre à la commémoration de l'Armistice survenu à la fin de la Grande guerre 14 - 18

 

Les deux font la paire

C'est dire que ce pan si important de notre histoire ne doit pas être enseigné aux seuls enfants et adolescents belges mais également rappelé à ceux qui se targuent de nous représenter au sein des assemblées législatives

L'agression perpétrée par Ahmed Laaouej contre ce symbole que nous commémorons chaque année à date fixe (Le 11 novembre),  intervient alors que les témoins directs de ce fait historique durant lequel périrent des milliers de poilus belges, dans des tranchés insalubres, nous ont tous quittés.

Alors que ce petit bourgmestre révisionniste dispose dans la commune qu'il gère d'une nuée de rues (rue du château, rue des archers, rue du cubisme, rue de la carrière...) et d'une multitude d'artères n'ayant pas la haute symbolique de celle de l'Armistice, son choix - innocent ? - s'est porté sur cette rue porteuse d'un fait emblématique et hautement marquant de l'histoire notre plat pays

Gisèle Halimi, cette femme et cette avocate de grande valeur a toute sa place chez nous, dans l'évocation des combats qu'elle a menés pour la défense de la cause des femmes et des opprimés, tant au Maghreb dont elle originaire mais également en France.

En revanche, le fait de bannir la rue de l'armistice et d'opposer ces deux symboles marquant de l'histoire des luttes pour la justice, est tout simplement criminel

Je demande ou plutôt, j'exige de celui qui a eu cette outrecuidance irresponsable, de procéder sans délai au choix d'une autre rue pour y installer la plaque portant le nom de Gisèle Halimi

 

Pour rafraîchir la mémoire de ce petit édile local si tant est il en ait une, je lui envoie ces quelques lignes évocatrices de ce que fut l'Armistice:

 

11 novembre 1918. Clairière de Rethondes, en forêt de Compiègne. Il est 5 heures 15 du matin. 

Dans un wagon spécialement aménagé, une convention d’armistice est signée entre le maréchal Foch, commandant en chef des armées alliés, assisté de l’amiral Wemyss, Premier Lord de la mer, et le secrétaire d’État Erzberger, président de la délégation allemande. 

Les hostilités doivent être arrêtées sur tout le front occidental à 11 heures, heure française. 

Après cinquante-deux mois de durs combats, la Grande Guerre s’achève enfin… 

C’est un profond soulagement pour tous les belligérants, une joie mêlée de tristesse pour les vainqueurs, une souffrance teintée d’amertume pour les vaincus. Mais on peut entrevoir le rétablissement de la paix.

Le conflit a fait plus de 9 millions de morts et disparus (1,4 million pour la France), plus de 21 millions de blessés (4 millions en France).