lundi 16 septembre 2013

Arrêt sur image: les jeunes "cadres", issus de l'immigration marocaine ont déçu, et c'est peu dire

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La grande déception....
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Ils sont de séduisants universitaires, beaux parleurs, prometteurs de beaux jours et disposant d'un indéniable charisme.

Ils ont tardé à investir le terrain associatif ou politique belge, laissant à d'autres, plus "vieux" qu'eux, le loisir d'occuper ces terrains.

Aujourd'hui: Radouane Bouhlal,



Radouane Bouhlal, adorait les médias


Issu d'une famille immigrée modeste de la ville de Tanger, le jeune juriste, et ex président du MRAX, après avoir occupé une fonction politique, comme cabinetard chez le ministre Ecolo Jean Marc Nollet, a eu le grand tort, durant tout son parcours, de n'écouter personne et d'aimer, tel Narcisse,  interroger sa glace :"Miroir, miroir, dis moi quelle est la plus belle".

Il est indéniable que son charisme avait subjugué l'ensemble des membres du MRAX qui lui ont confié les clefs du mouvement.

Les anciens du MRAX étaient loin de penser que le peu modeste Radouane allait les traiter par dessus la jambe, dès lors qu'ils avaient "osé" lui faire part de leurs remarques quant à sa gestion par trop communautariste (islamique) du MRAX.

Pour toutes réactions, les Blanmailland, Morelli, Faux, et Jacobs et beaucoup d'autres, eurent le droit d'être traités sans condescendance par le "brillant" chef islamique Radouane.

Il furent taxés d'affreux post soixante huitards ou d'horribles islamomphobes.

L'un après l'autre , ils sont partis en silence, sur la pointe des pieds et sans faire de remous. Ils aimaient trop le MRAX pour contribuer à son éclaboussement.

Triomphant, le grand chef certificateur Halal, qui adorait s'adresser aux médias, n'a pas manqué, s'entourant de sa cour communautariste, formée de excités d'Egalité et d'islamistes invétérés, de jouir de sa "victoire".

Libéré de toute opposition sur sa gauche, il s'engagea dans une dérive communautariste effrénée, marquée par d'innombrables sorties relatives au port du voile et des invectives anti "islamophobie".

Avant de le lâcher, les Nordin Saidi, Mohssin El Mouedden et le député Ecolo Ahmed Mohssine applaudissent.

Sa mainmise sur un MRAX, obnubilé par la "lutte contre l'islamophobie",  pousse le président à se comporter alors - la nature ne tolérant pas le vide que Radouane a crée autour de sa personne- comme un petit dictateur d'une République bananière, licenciant "ses" employés à tour de bras et se moquant de la délégation syndicale du Mouvement.

Bon prince, il fait semblant de se retirer de la présidence du Mouvement pour s'en proclamer directeur général (poste mieux rémunéré: il faut bien vivre et rembourser ses crédits hypothécaires), nommant un homme de paille à sa place. Un nègre, en somme.

Après avoir réduit à néant le caractère pluraliste du MRAX et chassé l'ensemble des laïques, Bouhlal, devenant paranoïaque, s'éclipse, laissant à terre, ce mouvement, fondé par des résistants contre le nazisme. Feu Madame Yvonne Jospa doit se retourner dans sa tombe.

Après le passage en tornade, du jeune despote, le mouvement porté des décennies durant, par de valeureux militants anti fascistes et des progressistes convaincus, comme Guy Cudell, René De Schutter, Jean Marie Faux, Thérèse Mangot, Abderrahmane Cherradi et bien d'autres militants anti racistes,se trouve aujourd'hui, à terre.

Les prochains articles aborderont les cas Medhoune, Chicha, Boucetta, Mohssine, Fassi Fihri,...qui ont tous déçu.
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Le Maroc ne fut jamais autant isolé...