Monarchie absolue
L'image du roi du Maroc tant à l'étranger qu'au Maroc commence à se fissurer au vu de son exercice despotique du pouvoir
Après une année d'un cycle répressif impitoyable exercé par le régime marocain contre toutes les voix et tous les mouvements de protestation pacifiques, l'Europe commence lentement à découvrir la face dictatoriale de la monarchie marocaine.
En pointe de la dynamique européenne de solidarité avec le peuple marocain, nous trouvons les Pays Bas.
Récemment, c'est le ministre des affaires étrangères de ce pays accueillant près d'un demi million de Marocains majoritairement originaires du Rif, qui a élevé une protestation vigoureuse contre la situation faite aux populations du Rif par les forces répressives du régime monarchique.
Forces répressives saluées par ailleurs par le roi Mohammed VI à l'issue d'interventions très musclées contre des femmes et des enfants de la ville d'AlHoceima
Forces répressives saluées par ailleurs par le roi Mohammed VI à l'issue d'interventions très musclées contre des femmes et des enfants de la ville d'AlHoceima
Le ministre hollandais n'a pas hésité à alerter le gouvernement de son pays sur ces atteintes graves aux droits de l'homme au Maroc, étayées par un long rapport rédigé par les services de ce ministre.
En réaction, le gouvernement marocain aux ordres du roi et sur instructions de l'homme fort du régime, le conseiller royal Fouad Ali Al Himma, convoqua l'ambassadeur hollandais en poste à Rabat, au ministère marocain des Affaires étrangères.
L'on se souvient qu'en 2017, le Maroc avait essuyé un refus catégorique de la part du gouvernement hollandais, lorsque les Affaires étrangères marocaines avaient exigé l'extradition de Said Chaou, un hollando marocain, accusé par Rabat de promouvoir le trafic de drogue à partir du Rif mais également de comploter contre la sécurité de l'état marocain.
Les Hollandais qui savent pertinemment que l'entourage du roi est largement et activement impliqué dans le trafic de stupéfiants en provenance du Maroc, n'ont accordé aucun intérêt à la requête marocaine liée à l'extradition de Said Chaou.
L'état hollandais avait motivé cette fin de non recevoir, par le caractère expéditif de la justice marocaine largement aux ordres du palais royal.
Nasser Zefzafi, l'homme qui provoquera la chute de la monarchie marocaine
L'on se souvient qu'en 2017, le Maroc avait essuyé un refus catégorique de la part du gouvernement hollandais, lorsque les Affaires étrangères marocaines avaient exigé l'extradition de Said Chaou, un hollando marocain, accusé par Rabat de promouvoir le trafic de drogue à partir du Rif mais également de comploter contre la sécurité de l'état marocain.
Les Hollandais qui savent pertinemment que l'entourage du roi est largement et activement impliqué dans le trafic de stupéfiants en provenance du Maroc, n'ont accordé aucun intérêt à la requête marocaine liée à l'extradition de Said Chaou.
L'état hollandais avait motivé cette fin de non recevoir, par le caractère expéditif de la justice marocaine largement aux ordres du palais royal.
muy bon articulo
RépondreSupprimerLes choses ont dégénéré, le roi qui est censé avoir un rôle répressif (le seul rôle qui peut marcher avec les marocains, qui n'ont jamais su faire avec la démocrate qu'ils ne cessent de revendiquer) s'est contenté d'un rôle d'opposant au lieu d'agir fermement, il nous sort avec des discours fermes auxquels personne ne donne crédit! La révolution silencieuse va hélas parler!
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