mardi 28 février 2012

Les gauchistes de la Voie démocratique poussent "les autres" à faire la révolution, à leur place




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Les "déchets" de l'extrême gauche marocaine n'ont rien compris...à l'histoire

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Comme il y a 40 ans, aujourd'hui, les débris de l'organisation défunte "marxiste léniniste", Ilal Amam ( En avant ), continuent à utiliser les mêmes pratiques, de violation de l'indépendance des mouvements et associations de la société civile marocaine.

Le groupuscule maoiste "La Voie démocratique" ( Annahj Addimoqrati ), dont le secrétaire général, Abdellah Al Harrif, de toute évidence, élu à vie, n'a rien retenu des pratiques gauchistes des années 70 et 80.

Ces pratiques qu'avaient dénoncé, de leurs cellules de prison, la majeure partie des militants et dirigeants d'Ilal Amam, sont remises au goût du jour par les Maoistes de la "Voie".

Qu'est ce qu'il faut entendre par "Maoistes" lorsqu'on évoque aujourd'hui, cette secte fermée sur le peuple dont elle se destine à assurer la direction.?

Comme l'avait cru érronément le grand timonier chinois Mao Tse Toung, les camarades d'El Harrif continuent de croire, dans un pays à structure semi féodale, que la révolution sera le fait de la paysannerie, et du lumpen prolétariat, toutes deux, dirigées par le parti communiste de l'avant garde prolétarienne.

Ce parti étant, bien entendu, le groupuscule fascisant et sectaire de "La Voie Démocratique".

Ignorant les rudiments les plus basiques du manifeste du parti communiste, rédigé par Karl Marx et Frederich Engels; manifeste dont les enseignements ne laissent planer aucun doute sur le rôle déterminant de la classe ouvrière, comme facteur essentiel pour la réalisation de la révolution prolétarienne.

Dans la relation "paternaliste" qu'entretiennent les pseudo communistes de la Voie, avec les associations et les organisations démocratiques et progressistes de la société civile marocaine, les gauchistes n'accordent aucun intérêt à la légitime volonté d'indépendance, de ces oragaisations, dans les rapports qu'elles peuvent établir avec des organisations ou partis politiques.

Pour Al Harrif, ces relations doivent s'inscrire dans un rapport de totale soumission de ces associations civiles, à son organisation.

Aujourd'hui, tout observateur politique attentif ne peut ignorer la totale mainmise de la Voie, dite Démocratique, sur les instances dirigeantes de l'Association marocaine des droits humains.
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Celle la même qui séduit Souhail Chichah, M.Belamaizi ou Nordin Saidi, en Belgique


L'AMDH, dirigée dans les faits, par les membres du comité central de la Voie dont Hamid Amine.


Comme ce fut le cas dans les années septante, pour l'Union nationale des Etudiatns du Maroc ( Le syndicat des étudiants marocains ).

A cette époque, Ilal Amam d'Abraham Serfaty et ses camarades, à défaut de réussir une présence siginficative au sein des organisations des travailleurs marocains, avait imaginé accomplir la révolution socialiste au Maroc, par la seule mobilisation des étudiants de l'UNEM et de quelques cercles marginaux d'intellectuels.

La gravité de cette pratique d'infiltration, tendant à mettre sous tutelle, les associations démocratques, réside dans l'exposition des militants de ces associations, à la répression politique et à l'affrontement violent avec les foces de l'ordre.

Ces affrontements, vers lesquels les extrêmistes de la Voie, poussent les militants des associations démocratiques, agissant dans le social, le culturel ou l'écomnomique, constituent le nerf de la stratégie des gauchistes d'Annahj.

En provoquant de tels affrontements - comme ce fut le cas à Taza -, affrontements auxquels, ils se gardent de participer physiquement, les dirigeants de la Voie cherchent à "démontrer" le caractère despotique et intolérant du pouvoir marocain.

Et à opérer des recrutements au sein de la jeunesse, ainsi exposée à la répression, agissant dans le cadre des Coordinations civiles et démocratiques au Maroc.

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