Et après ?

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 Questions et interrogations

Quelques questions auxquelles je ne trouve que difficilement réponses, au sujet de ce séjour Kiriste à Eskisehir, méritent que je les partage avec vous, afin de voir si mon humble analyse des tenants et aboutissants de ce "jumelage" sont susceptibles de croiser vos réflexions.


1- Pourquoi, en plus des échevins, Kir a choisi pour l'accompagner, les personnes que l'on a épinglées tout au long de cette visite?


- D'habitude lorsqu'une mission ou délégation officielle prend le chemin d'un pays ou d'une ville étrangère, c'est en général pour décrocher des marchés économiques en faveur des acteurs commerciaux ou des entrepreneurs de la délégation visiteuse. Et partant pour l'entité organisatrice de la visite ou du jumelage.

Pour ce faire, l'autorité politique, à l'initiative de ladite visite, donne la priorité pour la participation à sa mission, à des sociétés, firmes ou compagnies, situées sur le territoire de l'entité organisant la visite

Et généralement, les autres participants au déplacement ne représentent qu'un intérêt limité, voire accessoire lors du séjour de la délégation.

Dans le cas de la commune de Saint Josse, pauvre et endettée, cette règle revêt une importance capitale, tant les commerçants que les PME de la commune, quasi tous Turcs, ont un grand besoin d'un coup de pousse pour améliorer leurs rentrées financières via des exportations vers la Turquie de produits made in Belgique ou des importations de marchandises provenant de Turquie, pour les mettre à disposition des milliers de familles turques et par extension, de clients potentiels issus d'autres communautés.

Or, lorsqu'on regarde la liste des participants à cette visite, force est de relever que leur statut social ou économique, n'indique aucune plus value ou opportunité en faveur du commerce, ou de l'entreprenariat local ten noodois.

Et même sur le plan culturel ou académique, ces participants, incultes et gratteurs d'avantages publics, ne représentent aucun intérêt pour cette mission

Quel intérêt pour la commune de Saint Josse d'avoir "engagé" pour cette mission, des éducateurs de rue, ne disposant d'aucun niveau instructif ou scolastique et dont l'occupationnel (et le collage d'affiches électorales), constitue l'essentiel des activités.

Quel avantage va tirer Saint Josse de  la présence au sein de cette délégation, de conseillers communaux analphabètes ou de la directrice de la Maison de la famille ?

Si vous, vous  le savez, moi je le sais guère.


2- Sur base de quels critères, les participants à cette délégation, ont été sélectionnés ?


- Là, également, bien que je me sois arraché le peu de cheveux qui garnissent encore mon crâne, je ne suis pas parvenu à trouver réponse à cette question.

Si ce n'est que cette sélection s'est faite par Kir, sur un strict plan d'allégeance et de compensation de sous fifres inconditionnels, rapporteurs et renifleurs, dont il a besoin pour espionner "ses ennemis" et ceux qui "comploteraient" contre lui. Parano quand tu le tiens.


3- Cette visite est elle destinée à quémander des autorités d'Eskesihir, des aides pour le renflouement des caisses d'une commune de Saint Josse, au bord de l'asphyxie ?

C'est une option Kirienne qui n'est pas à écarter, car, conscient des problèmes sérieux que traversent les finances communales et des retombées que ces difficultés sont susceptibles d'avoir sur le maintien d'un personnel nombreux récemment engagé par Kir, le bourgmestre pourrait trouver dans une éventuelle aide matérielle venant de la ville turque, une bouffée d'air frais, pour faire sortir de l'eau la tête de Saint Josse.

Sauf que ce genre d'aventure, outre son caractère illégal, est hautement non conforme aux règles de gestion de nos communes et de nos institutions politiques belges.

Mais roublard comme il est, le maîeur ten noodis pourrait recourir à des voies détournées pour émarger à des aides possibles en provenance d'Eskesihir. 

Comme la création d'ASBL écrans, ayant pour objet de fonctionner avec ce genre de moyens.

Qu'il soit "tranquille", comme nous dénonçons toute forme d'injection de moyens financiers provenant du Maroc ou de pays islamiques du Golfe, nous serons vigilants pour toute immixion d'un état étranger, dans les affaires de nos institutions, à quelque niveau que ce soit

Je reste convaincu qu'in fine et par dessus toutes autres considérations, le but assigné par Kir, à ce jumelage foireux n'est autre qu'une opération de Public relations, imaginée par le bourgmestre, en direction tant de l'Etat turc que des belgo turcs présents en Belgique et dont l'appui aveugle à Kir, ne s'est jamais démenti.

 Les Arabes de service, gratteurs de jetons de présence, ont servi à leur insu, à cette manoeuvre.