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Heureusement, qu'on n'est pas entre 1940 et 1944
Entamé le 5 septembre 2014, le squat du 2 place
Quetelet a pris fin lundi soir. Histoire d’éviter un jugement en
référé, les occupants ont pris leur baluchon.
Non sans que les
écologistes n’aient mis sur le pavois, ce même soir-là, en huis clos,
une "méthode" communale "vraiment inquiétante"...
Mais la jeune dame, sans dévoiler le cœur du huis clos, s’est étonnée de divers éléments.
Procédé "limite mafieux"
Et la porte-parole du groupement d’évoquer, non pas du logement, mais des cours, de français ou d’arabe, par exemple.
"Après huit jours", poursuit-elle, "nous avons informé Emir Kir de notre présence, de notre souhait de le rencontrer. Nous espérions une convention temporaire. Des courriers au collège sont restés lettre morte".
Deuzio, dans le même registre, le collectif avait réuni les signatures indispensables à une interpellation citoyenne. Qui, en la séance du 27 octobre, n’eut jamais lieu. "Il y a eu intimidation !", déplore derechef Pauline Warnotte. Ce que détaille Deborah, en parlant de "procédé limite mafieux"...
Le lendemain du dépôt de l’interpellation, 5 lettres de désistement atterrirent dans la boîte aux lettres privée de la porte-parole néerlandophone de l’association.
Or, nul n’avait divulgué son adresse. En prime, ces courriers, à très peu de choses près tous identiques ("alors que ces personnes ne se connaissaient pas") et ce, jusqu’à une suspicieuse mention lu et approuvé, Emir Kir les a reçus en copie.
Tertio, l’argumentaire tennoodois repose sur un rapport sur l’état du bâti, consécutif à une visite datée du 10 septembre. "Nous tenions un livre de bord !", certifie Deborah.
"C’est un mensonge. Personne n’est rentré au 2 place Quetelet, ce jour-là."
Commentaire de Bruxellois, surement
Sans nous prononcer sur le fonds du problème lié à cette occupation, nous ne pouvons pas passer sous silence, les méthodes utilisées par Kir et consorts, destinées à intimider des citoyens, pour les dissuader d'user d'un des droits démocratiques les plus fondamentaux: celui de pouvoir interpeller le Conseil communal.
Ce droit découle d'ailleurs d'une ordonnance du pouvoir régional de tutelle (RBC), en vigueur depuis en 2009
Les pressions dégueulasses, dignes du régime de Vichy, qu'a utilisées Kir en intimidant nombre de ces citoyens, pour les pousser à revenir sur l'expression de ce droit de pétitionner et d'interpeller, constitue une méthode fasciste.
Onkellinckx qui nous bassine avec ses états d'âme anti collaborationnistes, se tait dans toutes les langues, face à ce dangereux précédent.
Mais tout le monde sait que ce sont Onkellinkx, Moureaux et Picqué qui ont introduit le ver négationniste et fascisant dans le fruit pourri du PS bruxellois.
Pour s'en convaincre, il n y a qu'à se référer aux photos que nous avons publiées hier, présentant Charles Picqué, décorant de l'ordre de chevalier de Léopold Ier, un négationniste, doublé d'un mafieu.
Le "socialiste" Charles Picqué, heureux de poser avec Özkara
Revenant aux méthodes utilisées par le pouvoir communal à l'encontre des citoyens qui voulaient interpeller le conseil de lundi 27 octobre, nous produisons ci après, un extrait d'une lettre adressée par le collectif des occupants du 2, place Quetelet, aux membres du conseil communal, lettre par laquelle, il dénonce ces méthodes dignes des délateurs nazis.
Notre indignation est d'autant plus forte que nous sommes persuadés que le PS bruxellois ne prendra aucune sanction contre Emir Kir.
Sachant que sa propre survie politique à Bruxelles en dépend, ce parti qui a tourné depuis longtemps le dos aux couches travailleuses de notre pays, a fait sienne la politique visant à faire le plein de voix aux élections bruxelloises, en s'appuyant sur la racaille négationniste, fasciste et mafieuse.
Extrait du communiqué du Collectif 2009:
Nous
déplorons également l’absence de motif valable à la non-recevabilité de
la demande d’interpellation communale. Premièrement, il y a eu pression
sur les habitants de Saint-Josse-ten-Noode pour qu’ils retirent leurs
signatures de notre demande d’interpellation communale; deuxièmement le
document ayant été rendu en bonne et due forme, et ce à deux reprises,
nous nous sommes vus refuser le droit d’interpellation lors du conseil
communal de ce lundi 27 octobre. Nous considérons cette manœuvre comme
une tentative supplémentaire de nous censurer et de nous arracher jusqu’au droit d’interpeler, démocratiquement, les membres du Conseil Communal.
Cela devient inquiétant et beaucoup regrette le barbu tant un régime de terreur règne désormais au sein des fonctionnaires de cette commune...
RépondreSupprimerBigliousse