mardi 4 novembre 2014

15 ans de paris...et pas encore riche




...Alors, Balsat doit vraiment être un con fini



Passer quinze ans à fréquenter la même agence de paris et finir la gueule amochée (j'exagère), faut s'appeler Balsat pour le réussir.

 Tout y passe: son chômage, ses 80€ du jeton de présence du conseil communal, les allocations familiales qu'il touche pour son fils (un garçon merveilleux) et tout ce qu'il glane de ci de là.

Balsat c'est comme Milquet: l'une comme l'autre sont malades lorsqu'en se réveillant le matin, ils ne trouvent pas leur photo dans la gazette.

Sauf que pour Milquet, plus rusée que Thierry ( C'est pas difficile ), elle a assuré ses arrières, rayon finances. 

Tandis que le SDF lui, il devra changer d'agence de paris, et emmerder de nouveaux clients, pour espérer sortir la tête de l'eau et probablement ramasser sur sa g....

Je trouve quant à moi, que le gars de cette agence a été très patient pour avoir attendu si longtemps avant d'étendre le très respectable con- seiller communal sur le trottoir. 

Quand j'ai biglé la tronche de Thierry dans la DH d'hier, j'ai fini par comprendre que ce petit figurant de troisième rang, est "condamné" pour la vie à jouer le rôle de victime toujours prompte à déposer plainte...chez les "pauvres" flics de Saint Josse.

Je pense que son plan destiné à troquer son siège de conseiller au profit d'un suppléant PS de Saint Josse est définitivement tombé à l'eau, car je vois mal Kir, se baisser pour ramasser une loque, encore moins lui offrir un job au sein d'un service communal, où il finira, plus vite qu'on le croit, à foutre le bordel, comme à son habitude.

Je ne le répéterai jamais assez, Balsat comme Radouane Bouhlal avant lui, devra entendre la voix de la raison (en toute modestie, la mienne) et disparaître de la place Saint Josse et des alentours de la place Madou.

Mais il ne le fera que contraint et forcé par un rejet total de sa personne et de sa manie à se poser comme victime de tout et de rien. 

En tous les cas, il n'a pas intérêt désormais à coller ses dents contre un poing quelconque à Saint Josse.

Car son histoire a fini aujourd'hui par ressembler à celle du jeune berger qui n'arrêtait pas de crier "Au loup"

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1 commentaire:

  1. L'addiction aux jeux est une vraie saloperie. J'ai failli tomber dedans moi aussi (lotto/euromillions et paris football)

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