mercredi 26 novembre 2014

Les détracteurs de l'équipe de direction du CCME, doivent faire preuve...

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...de moins de lâcheté et s'adresser directement au roi Mohamed VI


Les Aziz Saret, Jamal Rayan et autre Er-Rouhou Mohamed, alias Tijjini, ainsi que tous ceux qui tapent sans arrêt sur l'équipe dirigeant le CCME (Conseil de la communauté marocaine à l'étranger), reprochant à cet organisme de prolonger artificiellement les mandats de ses membres, font non seulement preuve d'une très mauvaise foi mais d'une lâcheté sans pareille.

Tous ces opposants au CCME qui se sont déchaînés sur l'équipe dirigeant cet organe savent, depuis la mise en place de cette institution en 2007, que ce fut par la volonté du roi Mohamed VI et à travers un décret royal, que le CCME vit le jour et que ses membres ont été nommés.

Même le chercheur universitaire Abelkrim Belguendouz, qui s'est institué tout seul, grand défenseur et porte parole de ces opposants, sait que l'on ne défait pas un décret royal, coulé dans le marbre, par une simple volonté de ceux qui dirigent actuellement le CCME.

Et que pour ce faire, une décision du souverain est indispensable.

Or, depuis que la composition de cet organe fut connue, ceux qui espéraient en faire partie ou aspirer émarger à l'équipe dirigeante de cette institution nommée par le roi, n'ont eu de cesse de prendre pour un puntching ball, les membres de cette équipe.

Faisant sciemment dans la confusion, les opposants aux gestionnaires du CCME ont eu recours à diverses méthodes et autres malveillances en reprochant à cet organisme de ne pas agir en première ligne, sur le terrain, pour régler les divers problèmes rencontrés par les Marocains du Monde.

Ceci, en sachant pertinemment que le statut et la fonction du CCME, comme cela est indiqué dans le décret de nomination de cette structure, se limitent à fournir des avis et des expertises au roi Mohamed VI, quant aux difficultés et aspirations des Marocains résidant à l'étranger, et suggérer au roi des propositions destinées à contribuer aux solutions à apporter à ces difficultés.
  
 Mais, ce qui découle de la  pure hypocrisie et de la franche lâcheté, réside dans le fait que ces opposants se sont déchaînés sur les dirigeants du CCME, depuis le terme du mandat decrétal de cet organe, mandat de 4 ans qui a échu fin 2011.

En effet, depuis la fin de ce mandat, les détracteurs de Driss El Yazami, président du CCME et de son équipe dirigeante, ont accentué leurs attaques à l'encontre de ce staff, lui reprochant de prolonger illégalement la vie du CCME et partant, les mandats de ceux qui par decrét royal, exécutent la mission que le souverain leur a confiée.

Parlons peu mais parlons bien: la décision de mettre un terme à l'existence du CCME et aux mandats de ses dirigeants, revient au roi et à personne d'autre.

Et bien que veillant actuellement aux destinées du conseil national des droits de l'homme au Maroc, l'actuel président du CCME, Driss El Yazami, ne pourra pas de sa propre initiative, démissionner de cet organe, étant attaché à cette mission, par décision royale.

Partant de ces réalités relevant de l'ABC  institutionnel marocain, je conseille naïvement à tous ceux qui veulent voir le CCME remettre son tablier pour raison de fin mandat, de prendre leur courage à deux mains et d'organiser un sit in devant le palais royal de Rabat, afin de demander au roi Mohamed VI, de défaire ce qu'il a institué.

Mais bien que sachant que c'est la voie royale pour tenter d'obtenir une réponse positive à leur requête, ces opposants sont trop lâches pour s'adresser au Seigneur et point à ses Saints. 




 

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