mercredi 19 novembre 2014

Les Marocains d'Europe aussi

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ESCLAVAGE MODERNE: PLUS DE 150.000 VICTIMES AU MAROC



La Fondation Walk Free vient de rendre public, ce lundi 17 novembre, son rapport sur l’esclavage moderne dans le monde.

 Et les chiffres que l’on découvre dans The Global Slavery Index 2014 révèlent une situation pour le moins dramatique au Maroc.


La fondation estime en effet que 158.400 personnes vivent, au Maroc, dans des conditions d’esclavage. 

Un chiffre qui représente 0,48% de la population. La situation s’est d’ailleurs aggravée en une année, le rapport 2013 ayant fait état de 50.000 cas d’exploitation. 

Sous le terme «esclavage moderne», cette organisation de défense des droits de l’Homme regroupe toutes les situations d’oppression et d’avilissement, prenant en compte les cas de traite d’êtres humains, d’esclavage sexuel, de travail ou mariage forcés… 

Réagissant au paysage qu’offre le Maroc, classé 55è au niveau mondial et 10è dans la région MENA des pays offrant les taux d’esclavage les plus importants, la fondation déclarera qu’il existe, dans le royaume, «des pratiques gouvernementales et des politiques facilitant l'esclavage», notant que, de surcroît, «la plus grande partie des services d’aide aux victimes est assurée par des associations et des ONG».

Commentaires de Bruxellois surement

Hé Tijjini, Er-Roukhou, toi qui te félicite que les femmes du palais royal marocain ne portent pas le foulard et s'inscrivent donc dans la modernité, sais tu (oui, tu le sais) qu'au Maroc, des femmes sont obligées de prester chez des familles aisées, pour "gagner" moins que ce qu'il faut pour nourrir leurs enfants.




Sais tu que des immigrés marocains d'Europe recourent aux services de femmes et de fillettes mineures, lorsqu'ils rentrent au Maroc, et que tu fais partie de ceux là ?

C'est ta revanche sur la misère morale et intellectuelle dont tu sembles souffrir.



Sais tu (Oh oui, que tu le sais), que des profs d'universités, des journalistes, des avocats, des juges et même des Oulamas exploitent éhontément des femmes et des jeunes filles pauvres en leur versant une misérable aumône, pour un "travail" d'esclaves ?




Connais tu, toi qui L7asse comme un clébard, la situation des femmes marocaines et même de jeunes filles de la campagne, dont tu es originaire ?  

Il n y a de plus dangereux que des gens qui, provenant de la misère, se croient parvenus.

Un proverbe marocain dit: "Demande au rassasié même lorsqu'il est pauvre et ne demande jamais à l'affamé quand il a trop mangé" (Souwwel cheb3ane ida Ja3, ma tsouwwel ch Ji3ane ida chba3)


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