mardi 23 décembre 2014

Je vous l'avais dit....

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Ouzzine n'est pas venu,  il est vu et vaincu

Mondial des clubs : Le ministre des Sports ne s’expliquera pas devant les députés


La session hebdomadaire des questions orales à la Chambre basse du parlement n’accordera finalement pas de temps à Mohamed Ouzzine pour s’expliquer. 

La colère royale contre le ministre de la Jeunesse et des Sports doit sans doute y être pour quelque chose. En revanche, les sénateurs gardent leurs questions pour le moment.

















La semaine dernière, le ministre de la Jeunesse et des Sports avait refusé de prendre la parole à la Chambre des représentants. Ce mardi, c’est au tour des députés de répliquer. Ils ont retiré toutes les questions qu’ils avaient préparées sur le scandale de la dilapidation de 220 millions de dirhams alloués au projet de rénovation du complexe sportif Moulay Abdellah de Rabat. La décision a été initialement prise par les groupes de l’opposition avant que ceux de la majorité gouvernementale soient aussi contraints d’y adhérer.

Les effets de la colère royale contre Ouzzine

Les députés ont compris le message de la colère royale pesant sur le ministre. Ils refusent ainsi d’accorder à Ouzzine une tribune pour donner sa version des faits aux Marocains alors que l’enquête ordonnée par le roi Mohammed VI, et confiée à la gendarmerie, est toujours en cours. Une partie de ses conclusions devraient d’ailleurs être révélée cette semaine.

Le non-retrait des questions orales, initialement prévues cet après-midi, aurait pu porter un grave préjudice aux autres mis en cause dans cette affaire. 

Le secrétaire général du département de la Jeunesse et des Sports et le directeur de la direction des sports que Mohamed Ouzzine accuse d’abus de confiance se seraient notamment retrouvés dans une position délicate. Ils n’auraient pas eu en effet l’opportunité de défendre leurs positions devant l’opinion publique contrairement au ministre.

Commentaire de Bruxellois surement
 
Ouzzine connait le chemin du vestiaire. Le roi a dit qu'il a fauté, il ne peut pas dire autre chose. Ni lui encore moins la commission d'enquête nommée pour établir la "réalité des faits".                                          

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