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Le Parlement de la Communauté française vire brutalement 30 collaborateurs
Le personnel qui retranscrit les débats est mis dehors pour réduire les coûts, sans préavis.
Les députés du parlement de la Fédération
Wallonie-Bruxelles (ex-Communauté française) ne font pas dans la
dentelle quand il s’agit de réduire les coûts du petit personnel
administratif.
En effet, l’assemblée a mis fin aux prestations d’une
trentaine de collaborateurs en charge de la retranscription des longues
heures de débats au sein de l’assemblée
Au niveau financier, ces collaborateurs encore en poste pour quelques jours représentent un budget de 650 000 euros par an.
En sous-traitant leur travail au Sénat, la facture ne s’élèvera plus qu’à 350 000 euros par an.
Problème : le personnel dont le parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles se débarrasse n’a pas de contrat de travail en bonne et due forme.
En fait, il s’agit pour l’essentiel de personnes travaillant à mi-temps tout en ayant un statut flou et hybride.
Le parlement les considère comme des prestataires indépendants et ne veut donc pas leur payer de préavis.
Commentaire de Bruxellois surement
On ne le dira jamais assez, l'institution "Communauté française" est une entité illégitime, car nullement élue par le peuple
Cette officine disposant d'un parlement et d'un gouvernement est la seule institution au monde, qui légifère et promulgue des lois (arrêtés et décrets) sans avoir été élue au suffrage universel direct
C'est une véritable arnaque aux électeurs wallons et bruxellois francophones qu'on appelle à voter pour les parlements régionaux, sans leur annoncer que sitôt élus aux parlements des Régions, nombre de ces parlementaires siégeront au parlement de la Communauté française, dont certains feront partie du gouvernement de cette entité.
Nombre de ces parlementaires régionaux après avoir été envoyés au parlement de la communauté française, se retrouvent aussi au sénat comme sénateurs de communautés, -ce bidule qui ne sert qu'à caser des copains et des obligés des partis politiques-.
Ainsi, Mampaka -il n'est pas le seul- qui a été exclu du collège de Bruxelles Ville, se retrouve après avoir été élu à la Région bruxelloise, puis parachuté au parlement de la communauté française par la volonté de Milquet, sénateur de communauté où il n'est tenu de rien produire, puisque le sénat belge à été réduit en une structure de "réflexion"
Il faut dissoudre le sénat qui ne sert qu'à repêcher et à recaser des copains politiques et des membres de la famille royale également non élus, et il faut dissoudre la Communauté française et transférer ses compétences aux Régions, dont les parlements sont élus au suffrage universel
Ils nous disent que la Communauté française assure le lien des solidarités entre les francophones de Bruxelles et de la Wallonie, ceci au moment où chaque Belge est intimement convaincu que les séparatistes flamands, qui ont accordé un répit à leur projet d'un état flamand, arriveront dans un délai pas si lointain que cela, à la concrétisation de ce projet.
En dissolvant la Communauté française, l'on fera coté wallon et Bruxellois, d'énormes économies qui seront les bienvenues pour assurer les services nécessaires aux populations bruxelloises et wallonnes.
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