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"Au secours, chassez cette "bête " que je ne saurais voir"
Ce qui est bizarre dans la langue française réside dans le fait que certains bestioles possèdent un nom uniquement féminin ou uniquement masculin
Mais il n y a pas qu'en langue française que ce genre de curiosité linguistique existe.
On en trouve aussi dans la langue arabe.
La mosquée sous occupation sourisienne
Epinglons quelques spécimen de nos amies les bêtes :
Pour un un taureau on ne féminise pas en disant une taurette, de même que pour un zèbre, la zèbrette n'existe tout simplement pas.
Quant au requin et au poisson marteau, ni la requine encore moins la poissonne martelle ne figurent dans les déclinaisons de l'un vers l'autre.
En arabe, la mouche (Debbana), restera éternellement féminine de même que Namoussa (moustique), encore que le pluriel de ces deux insectes lui, est décliné au masculin.
Notre heure est venue: Banzaï
le ver de terre "masculin en français" (Eddouda, féminin en arabe) ou le corbeau (el ghrab) préfèrent garder leur statut.
Jadis, lorsque les Français occupaient l'Algérie, la cigogne était appelée (Ben La3rej, ou fils du boiteux).
Parce que la cigogne, comme le cygne ou le flamand rose (je ne parle pas des membres du S.pa, parti socialiste flamand), ont tendance à lever une patte, un peu comme le chien quand il va au petit endroit.
"C'était juste pour vous souhaiter cette nuit sainte"
De là vient le sobriquet du "Boiteux ou La3rej)
Notez que la cigogne est surnommée Siwana dans le nord du Maroc, c'est le petit nom de Swain ou Cygne
Ne maîtrisant guère la prononciation de ce vocable, les Français parlaient de (Bellarej , toujours fils du boiteux)
A l'indépendance, Ben La3rej cessa de porter ce nom pour garder celui de Bellarej, que les Français lui avaient accolé.
Revenons à la souris qui tombe enceinte comme la vierge Marie, puisque LE SOURIS, lui n'existe pas en Français.
L'une: "Quel est le programme ce soir"
L'autre: "Faire les prières nocturnes à la mosquée Hassan II
Cette brave bestiole qui est réputée pour terroriser (comme Daech), les femmes de toutes origines, a fait une irruption plus que remarquée dans la Nuit du destin au Maroc.
Abou Bakr Al Baghdadi a du se sentir diminué dans ses capacités de semer la terreur au Maroc, face à la très sympathique bestiole.
Peut être même que cette attaque sourisienne inspirera un jour les fous de Daech qui mobiliseront une légion de souris pour terroriser les millions de pèlerins des lieux saints de l'Islam.
Toujours est il que le "test de la souris" sur les capacités de vaillance des Marocains aura été révélateur du grand décalage entre les professions de foi "supposées viriles", la Rojla, et les déclarations tapageuses de ce peuple et la réalité de sa prédisposition à affronter "le danger"
La police marocaine qui est passée maîtresse dans le travail de démantèlement des cellules terroristes de Daech et d'Al Qaeda, se doit de compter avec un nouvel ennemi, autrement plus redoutable que Ben Laden et Al Baghdadi réunis : J'ai parlé de la SOURIS
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