.
Un scandale initié par le PS aux "affaires" en Wallonie depuis un quart de siècle
(titre de Bruxellois surement)
Source La Libre Belgique
Il est de ces informations pour lesquelles la
légalité de l’acte posé n’est pas forcément mise en cause mais qui sur un plan
éthique posent d’inévitables questions.
Il en va ainsi des indemnités de sortie
qui sont versées à toute une série de mandataires publics et qui, dans un
contexte budgétaire difficile en Wallonie, laissent poindre quelques malaises,
si ce n’est quelques stupéfactions.
Manifestement, le gouvernement wallon devrait prochainement se pencher sur cette question (dans cinq mois).
L’actuel président de la SPGE Jean-Luc Martin et ses deux vice-présidents, Alain Tabart et Michel Cornelis devraient donc toucher un montant relativement important.
La somme évoquée avoisine le million d’euros par tête de pipe. Un montant qui aurait été provisionné via un système d’assurance.
Si nous n’avons pas pu obtenir les montants exacts qui concernent chacun de ces mandataires, les règles en vigueur, au niveau des mandataires de ce type de structures étaient relativement opaques, par le passé.
Ce montant est en fait calculé, comme un contrat de travail normal en fonction de l’ancienneté du mandataire et de son traitement. Le montant évoqué n’a donc rien de farfelu.
Si ces personnes étaient reconduites dans leurs mandats par le gouvernement wallon, un nouveau contrat de travail avec des indemnités différentes (en vertu des nouvelles règles édictées par la région) serait proposé aux trois personnes visées.
Un contrat sans doute moins intéressant que celui qu’ils ont actuellement.
Un autre cas chez Idelux
Ils ont tous deux travaillé au sein du cabinet de Jean-Claude Van Cauwenberghe lorsque ce dernier était ministre wallon. Michel Cornélis est, pour sa part, étiqueté CDH.
Alain Tabart, qui n’a plus envoyé de déclaration de mandat depuis 2008, occupait, en 2004, jusqu’à douze mandats rémunérés. Jean-Luc Martin dispose pour sa part jusqu’à cette année de cinq mandats rémunérés.
Un autre cas de mandataire public qui devrait toucher, lors de son départ, une indemnité équivalente à celles prévues par la SPGE concerne Bernard Antoine, directeur général adjoint du département assainissement (AIVE) de l’intercommunale Idelux.
Lui aussi est étiqueté CDH. De ce côté-là, encore une fois, il n’a pas été possible d’obtenir plus de détails sur le montant exact de son indemnité de départ.
Pour rappel, des règles plus strictes de transparence à l’égard des rémunérations, des avantages et des indemnités de ces mandataires publics sont désormais d’application en Wallonie.
Les contrats et désignation qui ont été signés par le passé n’en tenaient évidemment pas compte.
Commentaire de Bruxellois surement
Di Rupo, Honoris causa dans son village italien
Di Rupo, Honoris causa dans son village italien
M. Di Rupo, 64 ans, a été fait Docteur Honoris Causa
en sciences politiques internationales et des administrations.
Terame
est situé dans les Abruzzes, la région d’Italie dont étaient originaires
les parents du président du PS.
M. Di Rupo n’a pas manqué de le rappeler dans son
discours, qu’il a orienté sur l’Union européenne et son évolution.
Il a
appelé à «repenser l’Europe» pour en faire «une union démocratique», ce
qui permettrait de rétablir la confiance des citoyens dans l’UE.
Sincèrement Elio, quand le matin en te rasant, tu te regardes dans la glace, toi qui a brisé la vie de dizaines de milliers de demandeurs d'emplois lorsque tu étais premier ministre, tu n'éprouves pas une gêne à la vue de tes "camarades" vidant nos caisses de cette manière?
Quand toi et la bourgeoise de Lasnes, descendez dans la rue pour manifester avec les travailleurs en colère, et montrer votre pseudo solidarité envers la veuve et l'orphelin, ne vous sentez vous pas 'un peu' hypocrites ?
Et tu oses venir donner des leçons de solidarité à Charles Michel et à la Nva
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire