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.....causes du recours à la violence et au terrorisme pratiqués par certains
Moult approches et analyses ont tenté de trouver une explication à l'excitation à caractère sexuel qui s'empara de centaines de jeunes réfugiés provenant de pays musulmans et de jeunes maghrébins en particulier, lors des festivités allemandes de la nouvelle année 2016.
Très gênés et particulièrement démunis quant à la compréhension d'un tel phénomène de masse, les "sociologues, islamologues, théologiens et autres psychologues" musulmans sont restés au balcon et n'ont pas osé toucher à un telle thématique.
Si ceux d'entre eux qui expliquent tout par le recours à la grille politique, ont vite attribué ces agressions et ce harcèlement subis par des centaines de femmes allemandes, lors de ces festivités, à l'infiltration parmi les réfugiés syriens et irakiens, voire même marocains ou algériens, d'éléments proches ou sympathisants de Daech..., la majeure partie de ceux qui "savent" tout expliquer - comme Privot, Benzine, Ramadan, Al Qaradaoui et autres recteur de la mosquée de Paris -, ont préféré se taire, car n'ayant aucune explication plausible ou cohérente à apporter dans ce dossier...
Ou plutôt parce qu'ils savent, comme moi, ce qui se trouve à l'origine de ce mouvement de foule honteux et bestial.
Je vais leur mettre le nez là où cela sent infect.
L'ensemble de tous ceux qui dispensent depuis l'aube de l'islam, enseignements, fatwas et autres exégètes se trouvent depuis la nuit des temps islamiques, enfermés dans une situation inextricable à laquelle ils n'ont pu échapper ou s'extraire: le rapport à la femme et au sexe...
S'appuyant tant sur les traditions attribuées à l'islam que sur les textes fondateurs de cette religion, ces propagateurs de l'ordre puritain et de l'absolue séparation entre les sexes, n'ont rencontré l'amour féminin que très tardivement dans leur existence.
En revanche, et se basant sur leur "supériorité naturelle" face à la femme, ils ont rencontré cette dernière dans la position de dominant - dominé (l'homme étant le maître, du moins dans son cerveau)
Tout dans ce monde dit musulman est régi par la séparation entre les sexes.
Tant au sein de la famille, du village, du douar ou de la ville, que plus largement au sein des multiples et divers secteurs de la société...
Le jeune homme ou la jeune femme ne sont autorisés à rencontrer leur partenaire qu'une fois l'union matrimoniale conclue entre les familles.
Dans ce "monde" musulman, les filles dès leur plus jeune âge, sont très étroitement encadrées, par leurs mères d'abord, mais surtout par leur père ou leur frères et aucun contact avec les garçons ne leur est permis dès que leurs seins commencent à présenter un léger relief.
C'est au paradis que le Coran donne rendez vous aux hommes musulmans (pas aux femmes).
Outre bien manger et bien boire au paradis, les musulmans de sexe masculin y jouiront à satiété des rapports sexuels avec leurs houris:
- Nous leur donnerons pour épouses des houris aux grands yeux (44:54).
- Mangez et buvez agréablement, pour ce que vous avez fait. Ils seront accoudés sur des divans rangés. Nous leur donnerons comme épouses des houris aux grands yeux (52:19-20).
- Lequel des bienfaits de votre Seigneur démentez-vous tous deux? Des houris cloîtrées dans les tentes. [...] Ni un humain ni un djinn ne les déflora avant eux (55:71-72 et 74).
- [Ils y auront] des houris aux grands yeux, semblables à des perles préservées […]. C'est nous qui les avons générées avec soin. Nous les avons faites vierges, plaisantes, [toutes] du même âge (56:22-24 et 35-37).
- Pour ceux qui craignent [Dieu], ce sera un succès: des vergers et des vignes, des belles aux seins arrondis, [toutes] du même âge, et une coupe débordante (78:31-34).
Ce qui amène nombre de théologiens modernistes à s'interroger sur le devenir de l'épouse légitime d'un mari entouré de houris vierges, aux grands yeux, plaisantes et toutes du même âge.
D'autres se posent discrètement la question de savoir si, une fois au paradis, ces épouses "terriennes" auront droit aux mêmes "avantages" que leurs maris...
Au sein de ce monde dit musulman, les jeunes filles sont tenues à l'écart des garçons jusqu'au mariage et tout dans l'éducation familiale (dispensée surtout par les femmes ), tend à préparer les filles tant psychologiquement que physiquement, au mariage, leur interdisant toute relation avec les jeunes du sexe opposé
Jadis, la pratique de l'homosexualité masculine qui faisait des ravages au sein des sociétés arabes (même au sein des mosquées de quartier), constituait un tabou sur lequel les tenants des discours politiquement et religieusement corrects dressaient une véritable chape de plomb.
De leur coté, les jeunes garçons reçoivent la même éducation au sein de la famille, de l'école coranique et par la suite à l'école et présentement sur les réseaux sociaux
Mustapha Kastit, 8 ans de formation en Arabie saoudite et présentement chargé de l'encadrement des jeunes au centre islamique et culturel de Bruxelles (il est par ailleurs, chargé de délivrer les certificats de "réussite aux candidats à la conversion à l'islam. Il dispense en cette matière un module de trois mois à l'attention de ce public)
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Bien plus encore, cette "éducation" dite islamique, présente la femme comme un élément des plus dangereux pour la stabilité psychologique, spirituelle et sociale de l'homme.
Authentifié par Al Bukhari et Muslim, le hadtih du prophète, ci après,
« Je ne laisserai après moi une cause de trouble plus funeste à l’homme que les femmes »
et bien d'autres citations ainsi que de nombreux versets coraniques avertissant l'homme musulman des dangers de la tentation féminine
Comme dans la bible d'ailleurs, la femme est présentée comme la complice objective de Satan...
Cette éducation a conduit des millions de jeunes musulmans à refouler sans cesse, leurs désirs intimes et sexuels et à n'en parler qu'entre amis du même sexe.
A l'âge où ce désir devient irrépressible, le refoulement ainsi imposé, pèse de tout son poids et amène le jeune musulman, à une révolte interne...avant que celle ci ne se transforme en une explosion à l'encontre de l'entourage et de la société dans son ensemble.
Lorsque l'état islamique "offre" à cette frange de la jeunesse, la possibilité de jouir de leur" butin" féminin suite à une bataille ou une conquête, il n'est pas infondé de croire que cela constitue l'un des principaux attraits de ces jeunes pour leur engagement dans les rangs de cette organisation criminelle.
De plus, il faut le savoir: la mesure arrêtée par la Belgique et d'autres pays européens, en matière de regroupement familial post mariage, a occasionné, de l'aveu de nombreux jeunes mariés que j'ai pu rencontrer, un rejet total de toutes les règles de droit prévalant au sein de notre société.
Depuis que cette disposition inique interdisant ce regroupement familial pour quiconque ne disposant pas d'un revenu dépassant les 1350 €, des centaines de jeunes sans emploi ou à salaire réduit, qui ont contracté mariage avec une fille résidant au Maroc, vivent, privés de la présence affective et amoureuse de leur épouse, des situations insupportables en terme d'affection et de liens conjugaux.
De mes contacts avec nombre de ces jeunes, je peux attester qu'au vu de cette injustice et de ce déni d'un droit fondamental - celui à une vie de couple apaisante et épanouissante- le jeune ainsi privé de la présence de son épouse, porte un regard des plus haineux envers la société, la classe politique et l'ensemble des institutions démocratiques de notre pays.
Les départs en Syrie et les comportements machistes trouvent également leur origine dans les privations et les interdits imposés par la religion, ainsi que par les mesures discriminatoires et vexantes arrêtées par les institutions publiques de notre société.
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