La première bulle d'Ismail Saidi
Tu tournes la tête à gauche, tu tournes la tête à droite, ça rate pas: il y a un déradicalisateur, un islamologue ou un clown es déradicalisation qui te dit "bonjour"
Des fois, face à cette profusion de spécialistes en déradicalisation, je me demande comment il fut possible à ces recruteurs de Daech et autres Al Qaeda d'avoir pu envoyer par centaines des jeunes musulmans de chez nous dans les zones de combats en Syrie et en Irak.
Tous ces fins limiers es déradicalisation n'ont rien vu venir et continuent à se farcir les subsides dégagés par les institutions publiques de chez nous qui ne savent plus à quel déradicalisateur se vouer?
Il s'est trouvé, coté néerlandophone, un islamologue qui a publié un bouquin sur le jihad avant même d'en avoir rédigé la première ligne de cet "ouvrage". Tout simplement, parce qu'il avait suscité l'intérêt de son futur éditeur par un séjour syrien auprès d'Al Qaeda.
Il s'est trouvé aussi une maman qui, après avoir co fondé l'association "Les parents concernés", s'est détachée de cette structure, pour aller chercher côté flamand, un emploi et des moyens de fonctionnement pour sa nouvelle association et solliciter sa reconnaissance comme victime.
Il s'est trouvé aussi une drôle d'association entre un frère musulman (Michael Privot), qui après avoir tout fait pour booster la pénétration chez nous, de la confrérie d'Al Banna, et contribué par ce biais à radicaliser nombre de jeunes musulmans de chez nous, s'est associé avec un clown prétendument artiste et un chercheur marocain de récente arrivée en Belgique, pour nous pomper 275000 € avec la complicité de khoubzistes politiques tels que Bousetta et Laaouej.
Ce phénomène est cyclique: il suffirait que de temps à autre, une thématique à connotation problématique arrive sur la place publique, pour que des recalés de toutes sortes et des snipers de subsides, se poussent des coudes pour émarger aux miettes régionales, communautaires et fédérales.
Nous avons vu cela du temps où Dutroux faisait la Une des médias et des débats publics.
Si la majeure partie des parents, victimes de ce pédophile assassin s'étaient montrés dignes et vécurent leur deuil dans le recueillement, d'autres ont profité de l'opportunité pour se faire élire au sénat ou pour créer une association de défense des victimes de fugues et autres disparitions d'enfants.
L'islamophobie se trouve aussi être une affaire rentable qui permet à divers individus d'émarger aux moyens publics.
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