mercredi 17 novembre 2021

l'étau se resserre autour du cou de Salah Echallaoui

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Rejeté de toutes parts...


Il est bien loin le temps où l'espion marocain, aujourd'hui rejeté de toutes parts, jouait dans la cour des grands



Tous les acteurs actifs en milieu islamique belge attendent avec intérêt le verdict de la Cour saisie par les trois membres de l'exécutif des Musulmans de Belgique (EMB) ayant mis en cause publiquement tant la méthode Echallaoui que l'inféodation de ce dernier à l'état marocain et à ses services sécuritaires et d'espionnage.


Le communiqué ci dessus émanant de 3 entités islamiques actives au sein de nombreuses mosquées du pays ( La Fédération des mosquées de Bruxelles, La Fédération des mosquées de Flandre et l'Union des mosquées de Charleroi), toutes marocaines, montre l'inquiétude liée au vide que laisse l'actuelle paralysie de l'EMB.


A l'instar des trois membres de l'EMB ayant initié la plainte contre l'actuelle équipe manipulée par Salah Echallaoui, et tout en affirmant leur attachement à l'existence et au rôle de l'Organe chef du culte islamique, seul organe représentatif du temporel islamique en Belgique, les trois structures signataires de ce communiqué attirent l'attention sur les graves dysfonctionnements que connait l'EMB surtout au niveau de l'ASBL "LE COLLEGE DE L'EXECUTIF DES MUSULMANS DE BELGIQUE" chargée de la gestion des finances de cet organisme


Elles s'inquiètent d'autant de cette situation au moment, écrivent elles, où les Musulmans de Belgique sont en attente de solutions liées à la gestion de nombreux dossiers importants pour eux.


Elles dénoncent le rôle ambigu du CIB (CONSEIL DE COORDINATION DE L'ISLAM DE BELGIQUE) et l'immixion de cette association de fait dans les affaires des musulmans de notre pays.


Comme chacun sait, ce CIB, formé notamment par les Diyanet et le Rassemblement des Musulmans de Belgique, est largement manipulé par Salah Echallaoui et les instances dirigeant les Diyanet.


Figurant en bonne place sur le site de l'EMB, ce CIB se présente comme suit: 

"Le Conseil de Coordination des institutions islamiques de Belgique (CIB) est une plateforme citoyenne composée d'institutions, fédérations, organisations et structures de coupoles de la communauté musulmane de Belgique".


En réalité et face à sa prise de conscience de sa situation de "grillé" au troisième degré auprès de la Sûreté de l'état et des pouvoirs publics belges qu'il a trahis au profit de son pays d'origine, Echallaoui qui se savait hors jeu pour ce qui concernait L'EMB, a fondé avec ses amis des Diyanet, ce bidule intitulé CIB pour tenter à travers lui de se positionner et de revenir au devant de la scène comme interlocuteur des pouvoirs publics de notre pays. 


Il me revient de source sûre que le CIB cherche à initier, avec l'apport de nombreuses mosquées, un fonds destiné à assurer le financement du fonctionnement de l'exécutif des Musulmans de Belgique, afin d'assurer son autonomie vis à vis des autorités belges.



L'étau se resserre donc autour du cou d'Echallaoui puisqu'il n y a guère, les instances dirigeant les trois groupements signataires du communiqué ci dessus, étaient sous le pouvoir de l'inspecteur de l'enseignement de la religion islamique en communauté française,  qui les avait utilisées en 2012, lors des élections organisées à partir des mosquées de Belgique.


Ce qui pose problème dans le contenu du communiqué diffusé par les 3 groupements de mosquées islamiques réside dans le fait que ce texte ne parle à aucun moment de l'ingérence de l'état marocain dans les affaires des Musulmans de notre pays.


Sachant que l'écrasante majorité des mosquées marocaines de Belgique sont dirigées par des éléments soumis à l'ambassade du Maroc, la prudence et la vigilance vis à vis de ce communiqué et de ses initiateurs doivent être de mise.



  





1 commentaire:

  1. Dommage que la confusion s'intalle de plus en plus dans la représentation, pourtant nécéssaire,du culte islamique en Belgique.

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