des sevices marocains des renseignements agissent sous couvert de "journalistes"
En réalité, ces zigotos qui sont en contact avec certains agents de l'ambassade et des consulats marocains, ne détiennent aucune accréditation pour travailler comme journalistes et ne correspondent avec aucun média marocain reconnu.
Ils sont également inconnus au registre officiel des journaux belges.
Leur carte de pseudo journalistes, ils se l'ont fabriquée eux mêmes ou ont fait appel pour ce faire, à des informaticiens amateurs qui, pour arrondir leurs fins de mois, leur ont bricolé de fausses cartes de presse.
En réalité, ce sont des petits voleurs qui ciblent leurs victimes à escroquer au sein de la communauté marocaine de notre pays.
Leurs cibles préférées sont des commerçants marocains ayant pignon sur rue à Bruxelles, Anvers ou d'autres régions de Belgique
Le chantage, tantôt à la mauvaise image, tantôt à la bonne image à véhiculer sur leur canal YouTube, vise des personnes marocaines qui exercent des responsabilités au sein d'associations socio-culturelles, de représentations diplomatiques marocaines de Belgique ou encore de commerçants.
Le répertoire du public qui reçoit leurs vidéos se compose d'acteurs associatifs friands de scandales ou de coups sous la ceinture. Ou des malades désireux de se venger
Ces journalistes "falso" ne disposent que d'un niveau limité en rapport avec leur instruction, mais disposent d'un réseau de mouchards prêt à leur fournir des informations bidons concernant les personnes à salir.
Ils attaquent dans leurs vidéos l'action de tel ambassadeur ou de tel consul avant de se rétracter quelques jours plus tard pour encenser leurs victimes de la veille.
Pour ceux au sein de la communauté marocaine qui lisent entre les lignes leurs enregistrements, ils ne faut pas être d'une grande intelligence pour comprendre que le chantage vis à vis de ces victimes de la semaine écoulée a bien fonctionné
Généralement, ces pseudo journalistes ne travaillent pas - et ils ne s'acquittent pas d'impôts -, en revanche, ils passent leurs journées à faire le tour des cafés et mosquées marocaines dans l'espoir de récolter des informations susceptibles de faire tomber l'un ou l'autre responsable associatif, imam ou acteur économique avant de leur réclamer une dîme
En réalité, ils ne sont pas très nombreux mais leur activité soutenue et abondante suffit à les identifier au sein de la communauté marocaine du pays.
Pour salir un responsable diplomatique ou un acteur politique ou associatif, des individus mal intentionnés font appel à eux, pour quelques sous et leur commandent un "article" à publier sur leur page Facebook ou leur canal YouTube. Des articles sur mesure où passent diffamations, insultes et autres accusations de toutes sortes.
Le but recherché est de subtiliser de l'argent à ceux qui leur commandent des articles destinés à les faire mousser ou des écrits dont le but consiste à faire une mauvaise réputation à leurs adversaires et autres ennemis.
De très nombreuses plaintes ont été enregistrées auprès des polices locales par des victimes de ces voyous. Sauf que débordée, la police et la justice finissent par classer ces plaintes sans suite.
A signaler que parmi ces "journalistes", on trouve un faux homme de médias qui, pour réaliser un projet bidon, fut il y a un an rétribué par l'Exécutif des Musulmans de Belgique pour un montant annuel de 14.0000 et disposait d'un bureau et de matériel médiatique dont la valeur dépassait les 40000 €.
Un autre faux journaliste a presté en noir pour le même organisme durant plusieurs années et a touché sous la table, des sommes conséquentes.
des faux journalistes font aussi des interviews bidons pour des politiques d'ici, et se spécialisent dans une "presse" (souvent capsules vidéo) pour des lecteurs de la communauté marocaine, turque et subsaharienne
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