mercredi 18 octobre 2023

La fréquence dite arabe 106.8 est condamnée a fermer ses micros

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...Dossier complet, Mardi prochain 24 octobre


- Comment cette fréquence a t elle vu le jour en 1980 dans la dynamique de l'apparition des radios libres en Belgique


- Quels sont ses premiers promoteurs


- Comment, d'une seule station en 1980, cette fréquence a t - elle été depecée pour héberger 6 radios, toutes de tendance makhzenienne


- Comment le ministère chargé de l'audiovisuel en Communauté française à imposé sa reconnaissancecd'une radio unique


- Comment l'homme d'affaires marocain Ahmed Bouda "entuba" l'homme d'affaires tunisien Lassad Benyaghlane proche des islamistes d'ANNAHDA en lui cédant illégalement cette fréquence pour le montant de 700.000 €.


- Fadila Laanan en tête,  comment le PS bruxellois ferma les yeux sur cette transaction pour profiter de l'antenne d'Al Manar devenue Arabel par la suite pour booster ses campagnes électorales auprès des Arabo-Musulmans de la Capitale


SOYEZ AU RENDEZ VOUS MARDI 24 OCTOBRE 

2 commentaires:

  1. Le PS va certainement trouver un moyen de les renflouer via un subside. Ils ont besoin de ce média. Ils avaient juste besoin d'attendre qu'ils soient à genoux pour les utiliser plus librement.

    Il serait intéressant de savoir qui sont les candidats potentiels à cette reprise.

    La Région a donné 8.000€ de subsides à une entité qui s'appelle "Arabel Sport" : à part une chaîne Youtube à 14 abonnés on ne sait pas trop ce que c'est. Il serait intéressant de s'intéresser aux subventions reçues par cette chaine.

    On peut voir sur un graphique que le nombre de ETP en comparaison avec d'autres radios était fortement élevé. Arabel voyait trop grand. https://www.csa.be/87247/synthese-radios-economie-et-emploi-dans-les-radios-privees-belges-francophones-le-csa-fait-le-point-a-lapproche-du-plan-de-frequences-2017/

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  2. Sur les rapports annuels du CSA on retrouve les problèmes récurrents avec cette chaîne. Sur le rapport de 2021 par exemple :

    22 avril 2021
    Arabel FM (BRUXELLES 106.8 et BRUXELLES 12B)
    A la suite du contrôle annuel 2019, le CAC avait notifié à la SA Arabel les griefs de ne pas avoir respecté
    ses engagements en matière de quotas musicaux, que ce soit son engagement à diffuser 35 % d’œuvres
    musicales chantées en français ou son engagement à diffuser 6 % (dont au moins 4,5 % entre 6 heures et 22
    heures) d’œuvres musicales émanant de la FWB. Il lui avait également notifié le grief de ne pas avoir adressé
    au CSA, pour le 30 juin, ses bilans et comptes annuels. S’agissant de ce second grief, le Collège a constaté
    que l’éditeur avait fini par lui remettre ses bilans et comptes, bien que tardivement. Il a donc estimé que le
    grief n’était plus établi. En revanche, en ce qui concerne les quotas musicaux, le CAC a constaté non seulement que le grief était établi pour 2019, mais qu’en outre, les chiffres communiqués par l’éditeur dans son
    rapport annuel 2020 étaient toujours inférieurs aux engagements pris. Ne pouvant dès lors pas se baser sur
    des signes d’encouragement mais tenant cependant compte du fait que c’était la première fois que l’éditeur
    était mis en cause pour le non-respect de ses engagements musicaux, le Collège a décidé de lui adresser un
    avertissement.
    Décision Arabel : non-respect des quotas de diffusion

    1er juillet 2021
    Arabel FM (BRUXELLES 106.8 et
    BRUXELLES 12B)
    A la suite de plaintes, le Secrétariat
    d‘instruction avait instruit un grief
    lié au non-respect, par la SA Arabel,
    des conditions de sa dérogation
    à l’obligation d’émettre en langue
    française. L’éditeur n’avait en effet pas
    respecté son obligation de diffuser au
    minimum 70 % de ses programmes en
    français. L’éditeur a reconnu le grief
    et, quant à lui, le Collège s’est montré
    compréhensif vis-à-vis des arguments
    soulevés par l’éditeur : la crise sanitaire l’avait empêché de lancer toute
    une série d’émissions francophones, il
    avait pris des initiatives pour redresser la situation qui semblait progressivement se régulariser, et il paraissait
    motivé pour enrichir sa programmation et renouveler son public. Toutefois, le Collège a également constaté
    que l’éditeur avait déjà récemment fait
    l’objet d’une sanction pour d’autres
    griefs constatés en 2019 et 2020 (voir la décision du 22 avril relative au
    respect des quotas musicaux). Aussi,
    par souci d’égalité vis-à-vis des autres
    éditeurs qui, tout en étant également
    soumis aux difficultés liés à la crise du
    COVID, avaient néanmoins réussi à
    respecter leurs obligations, le Collège
    a décidé de sanctionner l’éditeur et
    de lui adresser un avertissement.

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