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...Dossier complet, Mardi prochain 24 octobre
- Comment cette fréquence a t elle vu le jour en 1980 dans la dynamique de l'apparition des radios libres en Belgique
- Quels sont ses premiers promoteurs
- Comment, d'une seule station en 1980, cette fréquence a t - elle été depecée pour héberger 6 radios, toutes de tendance makhzenienne
- Comment le ministère chargé de l'audiovisuel en Communauté française à imposé sa reconnaissancecd'une radio unique
- Comment l'homme d'affaires marocain Ahmed Bouda "entuba" l'homme d'affaires tunisien Lassad Benyaghlane proche des islamistes d'ANNAHDA en lui cédant illégalement cette fréquence pour le montant de 700.000 €.
- Fadila Laanan en tête, comment le PS bruxellois ferma les yeux sur cette transaction pour profiter de l'antenne d'Al Manar devenue Arabel par la suite pour booster ses campagnes électorales auprès des Arabo-Musulmans de la Capitale
SOYEZ AU RENDEZ VOUS MARDI 24 OCTOBRE
Le PS va certainement trouver un moyen de les renflouer via un subside. Ils ont besoin de ce média. Ils avaient juste besoin d'attendre qu'ils soient à genoux pour les utiliser plus librement.
RépondreSupprimerIl serait intéressant de savoir qui sont les candidats potentiels à cette reprise.
La Région a donné 8.000€ de subsides à une entité qui s'appelle "Arabel Sport" : à part une chaîne Youtube à 14 abonnés on ne sait pas trop ce que c'est. Il serait intéressant de s'intéresser aux subventions reçues par cette chaine.
On peut voir sur un graphique que le nombre de ETP en comparaison avec d'autres radios était fortement élevé. Arabel voyait trop grand. https://www.csa.be/87247/synthese-radios-economie-et-emploi-dans-les-radios-privees-belges-francophones-le-csa-fait-le-point-a-lapproche-du-plan-de-frequences-2017/
Sur les rapports annuels du CSA on retrouve les problèmes récurrents avec cette chaîne. Sur le rapport de 2021 par exemple :
RépondreSupprimer22 avril 2021
Arabel FM (BRUXELLES 106.8 et BRUXELLES 12B)
A la suite du contrôle annuel 2019, le CAC avait notifié à la SA Arabel les griefs de ne pas avoir respecté
ses engagements en matière de quotas musicaux, que ce soit son engagement à diffuser 35 % d’œuvres
musicales chantées en français ou son engagement à diffuser 6 % (dont au moins 4,5 % entre 6 heures et 22
heures) d’œuvres musicales émanant de la FWB. Il lui avait également notifié le grief de ne pas avoir adressé
au CSA, pour le 30 juin, ses bilans et comptes annuels. S’agissant de ce second grief, le Collège a constaté
que l’éditeur avait fini par lui remettre ses bilans et comptes, bien que tardivement. Il a donc estimé que le
grief n’était plus établi. En revanche, en ce qui concerne les quotas musicaux, le CAC a constaté non seulement que le grief était établi pour 2019, mais qu’en outre, les chiffres communiqués par l’éditeur dans son
rapport annuel 2020 étaient toujours inférieurs aux engagements pris. Ne pouvant dès lors pas se baser sur
des signes d’encouragement mais tenant cependant compte du fait que c’était la première fois que l’éditeur
était mis en cause pour le non-respect de ses engagements musicaux, le Collège a décidé de lui adresser un
avertissement.
Décision Arabel : non-respect des quotas de diffusion
1er juillet 2021
Arabel FM (BRUXELLES 106.8 et
BRUXELLES 12B)
A la suite de plaintes, le Secrétariat
d‘instruction avait instruit un grief
lié au non-respect, par la SA Arabel,
des conditions de sa dérogation
à l’obligation d’émettre en langue
française. L’éditeur n’avait en effet pas
respecté son obligation de diffuser au
minimum 70 % de ses programmes en
français. L’éditeur a reconnu le grief
et, quant à lui, le Collège s’est montré
compréhensif vis-à-vis des arguments
soulevés par l’éditeur : la crise sanitaire l’avait empêché de lancer toute
une série d’émissions francophones, il
avait pris des initiatives pour redresser la situation qui semblait progressivement se régulariser, et il paraissait
motivé pour enrichir sa programmation et renouveler son public. Toutefois, le Collège a également constaté
que l’éditeur avait déjà récemment fait
l’objet d’une sanction pour d’autres
griefs constatés en 2019 et 2020 (voir la décision du 22 avril relative au
respect des quotas musicaux). Aussi,
par souci d’égalité vis-à-vis des autres
éditeurs qui, tout en étant également
soumis aux difficultés liés à la crise du
COVID, avaient néanmoins réussi à
respecter leurs obligations, le Collège
a décidé de sanctionner l’éditeur et
de lui adresser un avertissement.