mardi 17 octobre 2023

Le jour où les Grands Chefs Blancs du PS bruxellois


...ont donné à Kir le fouet avec lequel il ne cessera jamais de les flageller

 


https://bruxellois-surement.blogspot.com/2015/05/kir-envoie-di-rupo-et-le-ps-la-merde.html?m=1

 



 

Comme l'assassinat jamais élucidé d'André COOLS, grand baron liégeois du PS, ce 17 octobre 2012 restera pour longtemps dans les annales de l'histoire noir du Parti socialiste bruxellois


Alors qu'il venait à peine de chauffer sa place au PS local de Saint Josse et de s'y affirmer en tant que champion toutes catégories des voix de préférence provenant essentiellement de sa communauté, Kir commet en 2012, son premier viol contre tout ce que ce parti comptait à l'époque comme personnalités bruxelloises "blanches" de premier plan


Charles Picqué,  multiple et inamovible ministre - président de la Région de Bruxelles - Capitale, Rudi Vervoort, alors président de la fédération bruxelloise du PS, Laurette Onkelinx, plusieurs fois ministre et vice premier ministre et Dame de fer du parti socialiste et last but least Philippe Moureaux sénateur fédéral et bourgmestre de la commune de Molenbeek, étaient presque à genoux devant Emir pour lui demander de passer son tour cette fois et de permettre à Jean Demannez, bourgmestre sortant de rempiler pour la législature qui allait démarrer.


Ce fut Jean Demannez qui permit au loup (gis) d'accéder à la bergerie


 Lui promettant le cœur sur la main et par écrit s'il le voulait, l'engagement solennel de lui confier le maïorat Ten Noodois en 2018.


Avant le scrutin communal d'octobre 2012, Jean Demannez, en présence de Moureaux et Onkelinx, avait pensé avoir convaincu Kir de partager en deux, les six années à venir - 3 années de maïorat pour le dernier des "vrais Belges" et 3 autres pour le représentant de l'état turc en Belgique.


Cet accord verbal entre les deux prétendants fut communiqué à Vervoort, alors président de la Fédération du PS à Bruxelles, à Madrane comme vice - président de cette même entité et last but not least à Charles Picqué, patron du gouvernement bruxellois.


700 voix de différence


Déjà en 2000, Emir Kir avait suscité la grande méfiance de Jean Demannez qui plaça le jeune turc en 14 ème position sur la liste de la section PS de Saint Josse. Le bougre n'en récoltera pas moins de 720 suffrages de préférence, avant de partir en 2004, grâce à l'appui de Moureaux et de Di Rupo au secrétariat d'état bruxellois aux poubelles

 

A l'issue du scrutin de 2012,  et devant le refus plus que catégorique du Turc de scinder le maïorat en deux, Jean Demannez avait supplié Laurette Onkelinx, de jouer les Madame Bons offices entre lui même et celui qui l'avait dépassé de 700 voix


Cette proposition Demanezienne avait aussi été formulée en présence des membres du bureau de la Ligue ouvrière ten noodoise (section communale du PS) quelques jours après le scrutin et la publication des résultats électoraux par le ministère de la Justice.


Philippe Moureaux qui venait d'apprendre après 20 années de maïorat Molenbeekois que son sort à Molenbeek ressemblait comme deux gouttes d'eau à celui de Jean Demannez, intervint sans grand enthousiasme, pour tenter de convaincre Kir d'accepter la solution médiane (3 années pour Demannez et 3 années pour Emir), afin, insistait le sénateur PS, de permettre au batteur des Amazing Games, de partir la tête haute. 

 

Sauf que très défait et poignardé dans le dos par Sarah Turine l'Ecolo et Ahmed El Khannouss l'Humaniste, le patriarche se souciait de l'avenir de Jean Demannez comme de sa dernière cravate


Vervoort et Picqué - ce dernier était un grand ami de Demannez - mirent leur poids dans la balance pour tenter de ramener Kir vers de meilleurs sentiments à l'égard de l'ancien motard et chauffeur de la Croix rouge ten Noodoise. 


Ce fut un NON catégorique, en français et en turc de la part de celui qui avait la veille salué 200 Turcs ten noodois venus devant la maison communale - certains y avaient même pénétré - pour assister au sacre de leur idole et assister au départ dans l'humiliation de Jean Demannez.


Laurette l'Ougréenne, la fille du député bourgmestre limbourgois Gaston et de Germaine Ali Bakir la Kabyle, usa de tout le pouvoir que lui conférait alors son statut de vice Premier au fédéral pour tenter de ramener son protégé Kir à de meilleures dispositions, rien n'y fit.


La Libre écrivait en octobre 2012, juste après les élections communales:


"Le bourgmestre de Saint-Josse-Ten-Noode Jean Demannez a affirmé lundi s'être senti trahi par son co-listier Emir Kir qui lui a proposé en vain, lundi, de lui céder sa place dans la candidature au maïorat. Interrogé par Belga, Jean Demannez a qualifié la démarche du secrétaire d'Etat bruxellois de "putch". Il a rappelé que les deux hommes s'étaient mis d'accord publiquement il y a plusieurs mois pour que lui-même entame le mandat qui se profile et le cède à Emir Kir en cours de législature."

 

 Jean le taciturne


Réunis en assemblée générale à l'issue du scrutin d'octobre 2012, les "militants" de la Ligue ouvrière ten Noodoise, pour l'essentiel des alimentaires et des chasseurs de jetons de présence, penchent en majorité dans le sens d'Emir Kir


 Sans jamais avoir eu le courage de l'exprimer, beaucoup d'entre eux n'avaient jamais pardonné à Jean Demannez, son hostilité à l'ancien bourgmestre Guy Cudell

 

Feu Anne Sylvie Mouzon, alors présidente du CPAS de Saint Josse constitua le fer de lance de l'opération ayant mis en minorité Jean Demannez au sein de la section locale de Saint Josse.

 

Elle entraina dans son sillage nombre de vieux nostalgiques de l'ère Cudell de même que des Khoubzistes invétérés à l'instar de Mohamed Jabour ou du plus vieux conseiller communal ten noodois, l'analphabète Abdeslam Smahi


 Battu à plate couture au nombre de suffrages accordés à Kir par les électeurs Ten Noodois et payant ses nombreuses décisions imposées à la majorité des ten noodois comme l'investissement d'un budget conséquent pour la rénovation de l'ancienne gare de Saint Josse et sa transformation en Jazz Station, Jean qui descendait très peu sur le terrain ten noodois pour rencontrer les habitants de la commune, savait que sa cause était perdue.

     

Masochistes comme pas possible, les dirigeants du PS Bruxellois qui sacrifièrent Demannez sur l'autel des suffrages turcs placeront Kir en 2014 en position éligible sur la liste des Fédérales. Il sera élu haut la main, renforçant ainsi son pouvoir à Saint Josse et son autorité sur l'ensemble de la communauté Turque provenant d'Emirdag et d'autres villes turques voisines.

 

Le parti socialiste courbera le dos face aux actes négationnistes à répétitions posés par Emir Kir. Jusqu'au jour où Ahmed Laaouej décida de se venger de lui en l'excluant des rangs du parti socialiste

 

  https://bruxellois-surement.blogspot.com/2023/10/le-complot-contre-kir.html


https://bruxellois-surement.blogspot.com/2014/12/la-troisieme-republiqueottomane.html?m=1


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