vendredi 29 décembre 2023

Le Tik Tok et les ...

 .

...Marocains de Belgique


Zaama, choufouni m3a men je suis

 

Un communautarisme assumé


Les politiques

les élus et autres activistes politiques marocains de Belgique qui n'ont aucun accès aux médias classiques télés,  radios et journaux (RTL, RTBF, BX1, Dh, Le Soir, La Capitale etc), ont trouvé dans le tik tok, le seul vecteur par lequel ils peuvent communiquer par l'image.

La seule radio qui leur permettait de s'adresser à un public d'expression marocaine vient d'être condamnée par la justice à fermer ses micros: il s'agit de radio Al Manar (Arabel) qui émettait sur la fréquence 106.8 mgh.


https://bruxellois-surement.blogspot.com/2023/10/la-frequence-dite-arabe-1068-est.html?m=1


Cette station rachetée par un homme d'affaires tunisien au marocain Ahmed Bouda, n'a pas été en mesure de se sortir de la situation financière désastreuse dans laquelle elle se débattait depuis des années. Le fisc avec toutes ses branches a réussi à faire prononcer sa faillite par le tribunal financier.

C'est que pour avoir accès aux médias grand public, il faudrait pouvoir créer des événements intelligents, porteurs et susceptibles d'intéresser de larges pans du public belge et les médias. 

Ces activistes, même s'ils ont fait de graves études, ne savent pas rédiger un texte aussi minime soit - il. Car rédiger n'est pas donné à tout le monde. 

Perso, je n'ai jamais lu un bouquin ou au moins un texte écrit par Laaouej, Madrane, Laanane, Mouhssin ou encore Ikazban.

Seul A. El Khannouss fait dans le texte accompagnant ses Tik Tok.

Du coup, tous ceux qui cherchent à se rendre visibles au sein de leur communauté d'origine à laquelle ils s'adressent pour solliciter ses suffrages, sont incapables d'imaginer l'organisation  d'événements d'intérêt public et partant d'acquérir une visibilité qui va chercher au delà du cercle restreint d'amis et de connaissances.

Tous ce que ces ignares savent faire, c'est se filmer en train de présenter des loques et autres chaises roulantes usées à envoyer au Maroc, pour soit disant venir en aide aux pauvres et aux sinistrés du royaume.

Et au passage, faire passer dans le tas en stoemelink des vélos et des scooter 4ème, voire 5 ème main, pour les écouler sur place dans l'Espoir d'en retirer quelques milliers de dirhams.

La championne toutes catégories dans ce business minable n'est autre que la conseillère communale schaerbeekoise Naima Belkhatir.

Après avoir collecté en faveur de la Turquie, de la Syrie et du Maroc, la voilà engagée avec sa copine des Citoyens du Partage dans le ramassage de brols de toutes sortes en faveur de la Guinée Conakry.

Pourquoi la Guinée?  non pas seulement parce que l'ex échevin PS ixellois Béa Dialo siège comme ministre au sein du gouvernement de ce pays, mais parce qu'un dépôt de carburant y a explosé récemment causant la mort d'une trentaine de citoyens Guinéens.

Pour se filmer à proximité de cartons contenant vêtements et sacs de couchages collectés par des ressortissants Guinéens de Belgique et publier sur Tik Tok, Naima n'hésite pas à se pointer aux cotés de personnes qu'elle ne connaît ni d'Adam ni d'Eve.

Quand les catastrophes naturelles manquent, ce sont les scènes de danses dans des mariages ou des soirées débiles qui les remplacent.  Avec renforts de vidéos tik tok imbuvables.

Depuis la fin des vacances estivales 2023, et se rendant compte de la proximité des élections de juin et d'octobre 2024, quasi tous les élus arabes et turcs bruxellois se ruent quotidiennent sur leur smartphone pour se manifester via des tik tok par lesquels ils tentent de présenter leurs réalisations à la con.

Les "ténors" style Laaouej, Laanan, El Khannouss, Kir, Bouhjar...font dans l'overdose du tik tok.

Mais le gusse le plus prolifique en cette matière n'est autre que le "frère" Chahid, dont la tronche rebutante inonde le tik tok par des apparitions nulles et manquant d'esthétique. 


Les "artistes" marocaines, et notamment les chanteuses à la voie morte ou éraillée,  constituent la seconde vague marocaine overdosant le Tik Tok.

Les Dalila, Maleeka et autre Karima...toutes tombées dans des tonneaux de maquillage dès patron minet usent et abusent jusqu'à l'overdose de Tik Tok.

A noter que la jonction se fait souvent entre les activistes politiques marocains et ces pseudo artistes, lorsque les premiers cherchent à profiter de la présence du public assistant à ces concerts donnés par ces annoneuses de vieilles chansons de Chikhate.




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