BRUXELLOIS, SUREMENT !
Tout va très bien Madame la Marquise. Le ciel est bleu. Pour vivre heureux, vivons cachés. Pour faire une Khoubza, il faut du blé, de l'eau et de la levure....
dimanche 1 juin 2025
Claude Moniquet, le fidèle
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...agent (e.a.) des services marocains de renseignements et ami de l'indicateur Mohamed Roukhou
Moniquet est un ami de Tijjini
Scoop : Mehdi El Hajoui, le numéro 2 de la, DGED marocaine se trouve actuellement en Belgique sous la protection de ses amis
Dans une vidéo en darija marocaine, postée hier sur sa chaîne Youtube, le journaliste d'investigation Ali El Mrabet annonçait que Claude Moniquet préfacera bientôt le livre que Mehdi El Hijaoui s'apprête à publier.
Un livre qui dévoilera, selon Ali El Mrabet, de précieuses informations relatives au fonctionnement de la DGED (Direction générale des études et de la Documentation) et à ses activités illicites tant au Maroc qu'à l'étranger.
Comme moi, Ali El Mrabet sait pertinemment que Mehdi El Hijaoui, qui a faussé compagnie à ses anciens compagnons de la DGED début 2025, se trouve actuellement en Belgique, sous la protection de ses amis bruxellois.
Qui est Claude Moniquet
Actuellement, celui qui se présentait avant comme "spécialiste es terrorisme" est un être errant dans l'anonymat après avoir brûlé tous ses contacts en Europe, au Maroc et en Israël.
La dernière aventure malheureuse du quinquagénaire Moniquet, fut son échec lors des élections régionales bruxelloises sur une liste marginale conduite en 2019, par le résidu déchet politique, ex MR (Mouvement réformateur belge), Alain Destexhe
Avant cette déconvenue, Moniquet, qui démarra très jeune son parcours au sein de groupuscules d'extrême gauche tant en France qu'en Belgique et qui se dit avoir été agent de renseignement en France à la Direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE), roula sa bosse à divers coins de la planète.
Dans les Balkans, en Israël où il séjourna deux années dans un kibboutz sioniste, en Pologne jadis communiste, en Autriche où il eut des ennuis avec le fisc et finalement au Maroc où il roula pour les services secrets marocains sous la supervision de Mehdi El Hijaoui;
L'agent de la DGSE Pierre Siramy qui l'avait recruté en 1986 sous le pseudo Sephora (épouse de Moise et fille de Jethro, le prêtre des Medianites), le présentait comme suit : "Un personnage bavard et vaniteux, porté sur l'alcool et sur l'argent. Je lui propose une aide financière. Suite à son acceptation devant cette aide tombée du ciel, voilà Sephora ferré. Le recrutement contre rémunération, qui en fera un agent et non un honorable correspondant, est acquis...Il n'aura qu'à me signer un reçu pour que nous soyons en règle (et que je le tienne)"
Siramy ajoute plus loin: " Nous nous sommes rencontrés depuis de manière régulière, notamment en Belgique, où il a déménagé. Tout aussi régulièrement, l'intéressé a reçu de ma part des sommes d'argent prises sur les fonds spéciaux. Il ne m'a jamais donné de mauvais tuyaux et un rapport de confiance s'est lentement et sûrement établi"
(...) Siramy poursuit, " autre élément d'importance : Claude Moniquet aurait aussi pris contact avec les services secrets israëliens. Il assure avoir noué des relations avec un américain, membre de la CIA, un certain Kaskett...." (source Wiképédia)
3achal malik
Le piège : Moniquet et Zian cassent le Journal
Mercredi 27 janvier 2010, en fin de journée, des éléments de la police judiciaire de Casablanca se rendaient au siège du titre de presse, sis boulevard des FAR à Casablanca et ont demandé expressément aux membres du personnel, présents sur les lieux, de quitter les locaux.
Ceux-ci étaient mis sous scellés par les policiers.
Ainsi s’achevait l’activité du Journal hebdomadaire, fleuron de la presse indépendante au Maroc entre 1997 et 2010.
Fondé en 1997, dans la dynamique de changement voulue par un Hassan II à la fin de son règne, le Journal Hebdo compta dans son staff de base les journalistes Aboubakr Jamai, Ali Amar, Hassan Mansouri et Mohamed Mouslim
La direction de l'Hebdo fut confiéeà Aboubakr Jamai.
L'hebdomadaire marocain de langue française fut condamné en 2006 par la justice marocaine à verser des sommes importantes en dommages et intérêts pour diffamation, à Claude Moniquet, président de l'obscur Centre Européen de la Sécurité et de l'Intelligence stratégique (ESISC)
Aboubker Jamai, directeur de "le Journal" démissionnera en 2007.
Le magazine mettra la clé sous le paillasson et cessera de paraitre
Genèse:
Un agent des services des renseignements marocains informa la direction du Le Journal au sujet la parution d'un article dénigrant le F.Polisario
L'article en question fut rédigé et posté par Claude Moniquet sur le site de l'ESISC et dont des extraits avaient été publiés dans certains journaux marocains.
L'agent des services affirma à Boubker Jamai que l'article avait été commandité à Claude Moniquet par les services marocains avec lesquels le président de l'ESISC était en contact très suivi
Ce même agent promit à Jamai l'envoi incessamment sous peu, des preuves attestant de la commande faite à Moniquet par les services marocains des renseignements
Jamai n'attendra pas et signera un article mesmoum (au picrate) contre Moniquet et ses commanditaires.
Les preuves promises ne parviendront jamais à la direction du Journal. En revanche, ce qui parviendra à l'équipe du magazine fut une citation à comparaitre à Aboubakr Jamai; citation initiée par l'avocat de Claude Moniquet, Mohamed Zian
Patron d'un restaurant de haut standing situé près des Communautés européennes à Bruxelles, un ami à moi qui résidait à cette époque en Belgique et qui était très proche de Claude Moniquet, surtout pour la levée du coude, m'avait informé du piège tendu au Journal; piège auquel Mohamed Zian était mêlé.
Aujourd'hui, et à l'heure où cet article est rédigé, Mehdi Hijaoui se cache quelque part en Belgique et rien ne lui garantit la fidélité de ceux qui le protègent actuellement.
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