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Les pouvoirs fascistes tunisien et algérien tuent...
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Depuis le déclenchement des manifestations de protestation contre les conditions de vie et l'xclusion, le nombre de morts par balles ne cesse d'augmenter parmi la population du Pays Proche et celle de la riche Algérie.
De nombreux médias parlent désormais de 25 victimes tombées sous les balles des flics de Ben Ali et d'une dizaine de morts abattus par la flicaille de l'hiomme de paille des militaires algériens, le très éffacé Boutef' .
Des sources syndicales ou liées à des associations des Droits de l'Homme convergent dans le même sens.
Le pouvoir du super flic Ben Ali ne sait rien faire d'autre que répondre par une répression féroce à ceux qui par milliers et dans les différents coins de Tunisie réclament davantage que du pain et des jeux, mais de la démocratie et du respect de la dgnité humaine.
En Algérie, le scénario est quasi le même et face à la montée en puissance de la protestation populaire, le pouvoir mafieu des généraux démontre une fois encore qu'il ne sait répondre que par la répression aux aspirations légitimes de la jeunesse de ce pays.
Cette jeunesse est excédée par le vol caractérisé des richesses immenses du pays dont 200 milliards de dollards dorment sur des comptes obscurs attendant d'être détournés par cette mafia militaire qui a placé Bouteflika aux " commandes ".
Ces deux pouvoirs, le Tunien et l'Algérien se rendent compte aujourd'hui de la grande erreur commise qui a consisté à mater, casser et marginaliser à l'extrême toute force d'opposition réellement représentative des aspirations et des attentes de leurs peuples.
Et aujourd'hui, ils se retrouvent nez à nez avec une jeunesse révoltée et non encadrée à laquelle ils répondent par le seul langage des armes et de flicaille.
Et cela risque de conduire à un bain de sang tant en Algérie qu'en Tunisie.
Curieusement, les principaux soutiens au régime mafieu algérien, ceux là mêmes qui manifestaient il n ya guère en faveur d'Aminatou Ahidar et pour les droits de l'homme au Maroc, se taisent aujourd'hui dans toutes les langues.
Nous savons que les moyens dont ils disposent pour fonctionner à Bruxelles et ailleurs leur viennent d'Alger et que leurs voyages d'agrément sont ponctionnés à partir de l'argent du peuple algérien.
Depuis le déclenchement des manifestations de protestation contre les conditions de vie et l'xclusion, le nombre de morts par balles ne cesse d'augmenter parmi la population du Pays Proche et celle de la riche Algérie.
De nombreux médias parlent désormais de 25 victimes tombées sous les balles des flics de Ben Ali et d'une dizaine de morts abattus par la flicaille de l'hiomme de paille des militaires algériens, le très éffacé Boutef' .
Des sources syndicales ou liées à des associations des Droits de l'Homme convergent dans le même sens.
Le pouvoir du super flic Ben Ali ne sait rien faire d'autre que répondre par une répression féroce à ceux qui par milliers et dans les différents coins de Tunisie réclament davantage que du pain et des jeux, mais de la démocratie et du respect de la dgnité humaine.
En Algérie, le scénario est quasi le même et face à la montée en puissance de la protestation populaire, le pouvoir mafieu des généraux démontre une fois encore qu'il ne sait répondre que par la répression aux aspirations légitimes de la jeunesse de ce pays.
Cette jeunesse est excédée par le vol caractérisé des richesses immenses du pays dont 200 milliards de dollards dorment sur des comptes obscurs attendant d'être détournés par cette mafia militaire qui a placé Bouteflika aux " commandes ".
Ces deux pouvoirs, le Tunien et l'Algérien se rendent compte aujourd'hui de la grande erreur commise qui a consisté à mater, casser et marginaliser à l'extrême toute force d'opposition réellement représentative des aspirations et des attentes de leurs peuples.
Et aujourd'hui, ils se retrouvent nez à nez avec une jeunesse révoltée et non encadrée à laquelle ils répondent par le seul langage des armes et de flicaille.
Et cela risque de conduire à un bain de sang tant en Algérie qu'en Tunisie.
Curieusement, les principaux soutiens au régime mafieu algérien, ceux là mêmes qui manifestaient il n ya guère en faveur d'Aminatou Ahidar et pour les droits de l'homme au Maroc, se taisent aujourd'hui dans toutes les langues.
Nous savons que les moyens dont ils disposent pour fonctionner à Bruxelles et ailleurs leur viennent d'Alger et que leurs voyages d'agrément sont ponctionnés à partir de l'argent du peuple algérien.
Pierre Galand, l'inconditionnel des généraux algériens se trouve aux abonnés absents aujourd'hui ainsi que ses petis soldats de plomb genre Nordin Saidi qui appelle à manifester pour soutenir les revendications des jeunes Algériens en les confinant au pain, à l'huile et au sucre.
Il sait pertinemment que ces jeunes ont dépassé et de loin, le stade des revendicartions du ventre pour exiger plus de liberté, de dignité et de démocratie.
Ce que le régime mafieu des généraux algériens qui invite Nordin Saidi avec l'argent du contribuable algérien, ne peut et ne veut octroyer à cette jeunesse révoltée contre l'écrasement des libertés et le vol caractérisé par les hauts gradés et les agents de la sécurité algériens, des milliards de dollars provenant des richesses immenses du pays.
Nordin est pieds et poings liés par les miettes que lui jettent le régime algérien comme l'on jette un os à ronger à un chien docile et obéissant pour qu'il fasse le beau.
Où restent les démocrates européens qui ne ratent aucune occasion pour dénoncer les atteintes des droits de l'homme au Maroc ?
Où restent ces élus, ces pseudo intellectuels de salon et ces univesitaires face à ces graves événements ?
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