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El Yazami a dit "Tozz" au CCME ( Conseil de la communauté marocaine à l'étranger )Il devait, au mois d'octobre passé, remettre un rapport circonstancié, des activités du CCME, au roi Mohammed VI.
El Yazami ne l'a pas fait. Il a même relégué son CCME aux oubliettes, depuis qu'il a été promu par le souverain, président du nouveau Conseil national des droits de l'homme.
Mais la pléthore des 62 parasites, engagés par El Yazami, au début du mandat de son CCME, continuent de toucher le plantureux salaire ( entre 3000 et 8000€ ), sans rien faire, sauf effectuer des voyages bidons de part et d'autre de la planète.
Le roi n'a pas seulement promu El Yazami à la présidence du conseil des droits de l'homme mais a dispensé celui qui reste aussi président du CCME, de la "corvée" de lui fournir quoi que ce soit comme information au sujet de ce bidule improductif.
Improductif mais pas pour les amis. Puisque Paul Dahan, directeur de l'ASBL Musée juif marocain, et en même temps membre du même CCME, a bien profité du soutien plantureux du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger, pour faire le tour d'Europe à son expo relative à l'histoire commune du Maroc et de l'Europe.
A cet égard, la confusion des intérêts est on ne peut plus manifeste, quant au soutien financier accordé par le CCME, à l'un de ses membres.
Membre qui, juge et partie, a voté, pour lui même, l'octroi de cette subvention de plusieurs dizaines milliers d'Euros.
El Yazami qui a accordé un enterrement de première classe à son CCME est trop occupé par la mise en place de "Comités régionaux des droits de l'homme" au Maroc.
Ces comités se composent de membres recrutés parmi les citoyens des divers coins du Maroc
L'objectif poursuivi par El Yazami, à l'instigation d'Al Himma est de réduire à néant l'action des associations et autres organisations indépendantes des droits de l'homme au Maroc.
Pour ne faire entendre que la voix très officielle, du Conseil national des droits de l'homme au Maroc.
Et à cet égard, il y a très peu de chances, d'entendre, venant de ce conseil, ou de ses antennes régionales, des informations relatives à la pratique de la torture au Maroc ou aux atteintes aux libertés et aux droits humains dans le plus beau pays du monde.
Sans quoi, on aurait, depuis longtemps, entendu le sieur El Yazami évoquer la détention du grand journaliste et directeur d'Al Massae Rachid Nini le maintien en prison des islamistes, dont la seule accusation, porté à leur égard, fait allusion " à un discours alimentant le terrorisme"
Et pour faire en sorte que sa voix porte plus fort que celle des organisations indépendantes des droits de l'homme au Maroc, on peut faire confiance à El Yazami, qui a réussi, grâce à la manne financière inépuisable dont il bénéficie, sait recevoir les journalistes et les "gâter": Hôtels 5 ***** A, billets d'avion, cachets ( pas d'aspirine )...etc.
Pour dépenser, en pure perte, de l'argent, en paiements de personnes improductives telles les créatures portées à la tête du CEOM ( Conseil européen des Oulamas marocains d'Europe ), dont le salaire de l'improductivité est de 5000 €, ou les membres et autres employés fantômes du CCME, ou encore affecter 1 million d'€ à Daarkom, l'Etat marocain, dispose de moyens sans limites.
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