mardi 10 juillet 2012

Le fascisme salafiste ne recule devant rien au Maroc

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Appel au meurtre en direct au Maroc


L'arrivée des islamistes dits " modérés" à la tête du gouvernement marocain, semble avoir libéré la parole fasciste, émanant des courants islamistes radicaux au Maroc.


Pas plus tard que début de la semaine écoulée, le "pseudo uléma" salafiste Nhari, a lancé en direct, sur la seconde chaîne marocaine, un véritable appel au meurtre, à l'encontre du journaliste Laghzioui, du quotidien Al Ahdat Al Maghribiya ( Evènements du Maroc ).


Cette fatwa a été édictée par le fasciste salafiste Nhari, suite à l'appui du journaliste à L'AMDH, ( Ligue marocaine des droits de l'homme ) qui revendique l'abrogation de l'interdiction des relations sexuelles, hors mariage.


De nombreux autres Chouyoukhs du courant salafiste jihadiste marocain, dont Abou Hafs, Haddouchi et autre Zamzami, pour ne citer que les plus ultra de ces Cheikhs, ont appuyé cette fatwa appelant publiquement au meurtre du journaliste.


Zamzami a été encore plus loin en invitant le rédacteur d'Al Ahdat, à offrir sa mère et sa soeur, à ceux qui voudraient la violer.


La libération de la parole religieuso-fasciste au Maroc trouve son essence dans l'attitude des ministres du PJD qui ne se sont pas gênés de mêler leurs voix à celles des plus radicaux des salafistes pour terroriser tous ceux qui ne partagent pas leurs délires obscurantistes d'un autre âge

L'on se souvient de la récente sortie de l'actuel ministre de la Justice et de la "Liberté", le sieur Ramid qui avait déclaré lors de sa visite à l'imam Marrakchi, Maghraoui, que beaucoup de visiteurs étrangers du royaume passaient de longs séjours pour s'adonner à des actes de débauche, particulièrement illicites et condamnés par l'islam.

Ledit Maghraoui avait émis une fatwa autorisant les hommes à se marier avec des fillettes de neuf ans, citant l'exemple du prophète Mohammed.

Réagissant à la fatwa de Nhari appelant au meurtre du journaliste Laghzioui, l'avocat Mohammed Sebbar, secrétaire général du Conseil national des Droits de l'Homme, a fait une déclaration très ambigüe en disant :

" L'uléma salafiste Nhari a commis une erreur en appelant au meurtre du journaliste LAGHZOUI. Ce dernier doit bénéficier d'un procès équitable s'il s'avère qu'il a porté atteinte aux bons moeurs".

Cette déclaration de Sebbar, bras droit du grand dépensier du Royaume, le sieur Yazami Driss, se contente de pointer une "erreur" dans le chef de Nhari qui appelle au meurtre et réclame un "procès équitable" contre le journaliste Laghzoui.

Chacun appréciera la grande timidité de Sebbar et sa transformation de grand défenseur des droits de l'homme en officier défenseur des bon moeurs salafistes 

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1 commentaire:

  1. bravo pour le courage de trnsmettre cette info les humanistes du monde entier ne doivent pas ceder ni trop douter des belles valeus qui les rassemble.Les futrs citoyens de la planete qui pourro ntsurvivre fzce aux deux fachismes qui gangrenent la palnete : religieux dans le sud politique dans le nord.

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