...qui riait des jeunes réprimés par la police marocaine..
« Aux environs de 17h30, je venais de l’avenue Hassan II quand j’ai vu des agents des forces de l’ordre en train de frapper brutalement des diplômés chômeurs.
Je me suis donc dirigé vers eux pour tenter de les démêler », explique le parlementaire dans un entretien avec le site Goud.ma
« Je me suis présenté. On a demandé à voir ma carte de parlementaire et c’est ce que j’ai fait. Je leur ai aussi montré mon passeport de service ».
Mais cela ne leur a visiblement pas suffi. « Quand ils m’ont reconnu, le chef de la police leur a ordonné de me tabasser » raconte le député, soulignant qu’il a également eu droit à des insultes. Abdessamad El Idrissi ne compte pas en rester là.
« j’ai informé le président du groupe parlementaire Abdellah Bouanou de ce qui s’est passé », a-t-il indiqué.
L’ironie du sort, c’est qu’en septembre dernier, ce même député avait assuré dans une interview avec la chaine BBC que les six militants du Mouvement du 20 février, condamnés au cours du même mois à de la prison ferme, n’avaient subi aucun mauvais traitement de la part de la police marocaine, citant un rapport médical « neutre » selon lui.
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Commentaire de Bruxellois, surement
L'Etat marocain a déjà obtenu ce qu'il voulait, en appelant le PJD à occuper le "pseudo pouvoir".
Il n'en a plus besoin....
A quant un tabassage de Benkirane ?
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