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Israël: «Toute cette terre est à nous», dit une haute diplomate
La nouvelle ministre
adjointe des Affaires étrangères israélienne a affirmé que toute la
terre entre Jourdain et Méditerranée appartenait à Israël et a invoqué
les écrits juifs sur la création du monde à l’appui de ses dires, selon
une vidéo consultée vendredi.
« Il est important de dire que cette terre est la nôtre, toute cette terre. Nous n’avons pas à nous excuser d’être venus ici », a dit Tzipi Hotovely jeudi aux diplomates et aux employés du ministère.
Ces propos couvrent en particulier le territoire palestinien de Cisjordanie occupé. Ils vont à l’encontre des grands projets internationaux de résolution du conflit israélo-palestinien, qui prévoient la création d’un État palestinien constitué de la Cisjordanie et de la bande de Gaza.
Cela va dans tous les sens: un jour le premier ministre déclare que désormais, il n y aura aucune place pour un état palestinien aux cotés d'Israel, avant de revenir quelques semaines plus tard, pour dire, que tout compte fait, il est possible de concéder un état aux Palestiniens
Aujourd'hui, c'est autour de la nouvelle ministre adjointe aux affaires étrangères israeliennes de nier aux Palestiniens tout droit à un état puisque d'après les écrits (quels écrits ?) "cette terre est à nous"
Quelle est la place et la marge de manoeuvre aujourd'hui, laissées à ceux des Juifs qui se proclament sionistes modérés et partisans de la paix, lorsque des éminences aussi importantes qu'un premier ministre et une adjointe au ministre des affaires étrangères, font ce genre de déclarations.
Et ils ne sont pas les seuls, puisque des personnalités aussi influentes sur la politique israelienne, comme Avigdor Liebermann, abonde dans le sens de Tzipi Hotovely
« Il est important de dire que cette terre est la nôtre, toute cette terre. Nous n’avons pas à nous excuser d’être venus ici », a dit Tzipi Hotovely jeudi aux diplomates et aux employés du ministère.
Ces propos couvrent en particulier le territoire palestinien de Cisjordanie occupé. Ils vont à l’encontre des grands projets internationaux de résolution du conflit israélo-palestinien, qui prévoient la création d’un État palestinien constitué de la Cisjordanie et de la bande de Gaza.
Commentaires de Bruxellois surement
Cela va dans tous les sens: un jour le premier ministre déclare que désormais, il n y aura aucune place pour un état palestinien aux cotés d'Israel, avant de revenir quelques semaines plus tard, pour dire, que tout compte fait, il est possible de concéder un état aux Palestiniens
Aujourd'hui, c'est autour de la nouvelle ministre adjointe aux affaires étrangères israeliennes de nier aux Palestiniens tout droit à un état puisque d'après les écrits (quels écrits ?) "cette terre est à nous"
Quelle est la place et la marge de manoeuvre aujourd'hui, laissées à ceux des Juifs qui se proclament sionistes modérés et partisans de la paix, lorsque des éminences aussi importantes qu'un premier ministre et une adjointe au ministre des affaires étrangères, font ce genre de déclarations.
Et ils ne sont pas les seuls, puisque des personnalités aussi influentes sur la politique israelienne, comme Avigdor Liebermann, abonde dans le sens de Tzipi Hotovely
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