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Le dictateur Al Sissi, soutenu par l'occident, fait tout pour pousser les Frères à la violence
Reçu en grandes pompes par le "socialiste" Hollande, il y a deux mois, Al Sissi qui a acheté avec l'argent du contribuable égyptien, 24 Rafales, s'est senti assez soutenu par l'Occident, que pour condamner à mort des centaines de ses opposants.
Mitterrand avait au moins eu en son temps, la présence d'esprit de se déclarer "troublé" après avoir reçu le dictateur polonais Jaruzelski
Hollande lui, ne connait pas le trouble, préoccupé qu'il est par les milliards provenant d'Egypte, à la suite de la vente d'avions militaires au pire des dictateurs que ce pays ait engendré depuis l'ère des Pharaons
Le silence occidental face à ces atteintes très graves aux droits de l'homme, perpétrées par les putschistes militaires, constitue une complicité flagrante dans les crimes d'Al Sissi.
Le but poursuivi par le dictateur égyptien est de pousser ses opposants qui ont choisi la voie pacifique, à se radicaliser et à opter pour l'affrontement armé
Ainsi pourrait il justifier leur mise à mort massive par la lutte contre le terrorisme que des états terroristes comme l'Arabie saoudite, se targuent d'avoir engagée
Chez nous, le PS, parti de "gauche" n'a rien dit, occupé à déssoûler après la longue marche parmi les Gay Priders.
L'Occident semble trouver normal qu'un président démocratiquement élu (pour la première fois dans l'histoire de l'Egypte), soit enlevé et occulté pendant plus d'un an et in fine condamné à mort.
Dès lors que Morsi aurait été impliqué dans une évasion de prison bien avant son élection, pourquoi pardi les militaires lui ont permis de se présenter à ces consultations et accepté de faire partie de son gouvernement (Al Sissi avait accepté à la demande de Morsi de figurer au sein du premier gouvernement islamiste, comme ministre de la défense, avant de trahir son président, entre les mains duquel, il avait prêté serment de loyauté et de fidélité)
Mais de tout cela, nos gouvernements démocratiques et nos partis de gauche, n'ont rien à cirer: les affaires d'abord.
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