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Liège: une trentaine d’enfants de 10 à 12 ans sont retirés de l’école pour être radicalisés par un groupe fondamentaliste!
Sudpresse
Les autorités policières et judiciaires liégeoises ont constaté un nouveau phénomène, il y a plus ou moins un an. Plusieurs parents ont retiré leurs enfants des écoles « classiques » pour opter pour l’enseignement à domicile.
Problème : ces derniers envoyaient leurs enfants dans un centre islamiste radical étroitement surveillé : le « Markaz Attawhid ».
On parle ici de jeunes de 10, 11 et 12 ans, qui subissent là-bas une radicalisation extrême.
Un des deux frères Unsal, devant le local où il accueille les enfants, non loin du centre de Liège.
Un des deux frères Unsal, devant le local où il accueille les enfants, non loin du centre de Liège.
Markaz Attawhid.
Derrière ce nom, qui est officiellement celui d’un centre culturel islamique de Liège, se cache en réalité un groupe fondamentaliste surveillé de près.
À sa tête, deux frères : Islam et Khalil Unsal, deux Belges d’origine turque. Ces gens prônent un islam radical et ultraconservateur.
Nous avons appris auprès de différentes sources proches du dossier qu’un autre phénomène inquiète particulièrement les autorités depuis environ un an : la présence de très jeunes mineurs au sein même du bâtiment quai Saint-Léonard.
Concrètement, des parents ont profité du décret concernant l’enseignement à domicile pour retirer leurs enfants des écoles « classiques » pour les mettre chez Markaz Attawhid qui se présente, rappelons-le, comme un centre culturel.
« Nous avons remarqué que des jeunes mineurs fréquentaient le centre.
Parallèlement à cela, nous avons constaté que plusieurs d’entre eux avaient été retirés des écoles par leurs parents », confie cet observateur avisé.
Cette autre source ajoute : « Nous parlons ici d’une trentaine de mineurs. Et quand je dis mineurs, ce sont des jeunes qui ont l’âge d’aller à l’école primaire : 10, 11, 12 ans ! »
Commentaires de Bruxellois surement
Ce centre dont les deux dirigeants ont été formés en Arabie saoudite, fait partie de la nébuleuse salafiste radicale très active dans notre pays.
Laquelle nébuleuse financé par les saoudiens est en concurrence avec les Frères musulmans, installées surtout à Verviers autour de la mosquée Assahaba (Les compagnons
Proche du Centre Attawhid, la mosquée de Namur (photo ci dessus) organise elle aussi des conférences à contenu particulièrement fondamentaliste
Sur la partie gauche de cette liste, on retrouve Ahmed Sekkaki, conférencier et spécialiste de la fameuse Rokkiya (guérison par le Coran) laquelle méthode avait valu à Schaerbeek, une mort atroce à une jeune femme musulmane, obligée par sa famille à des séances de Roqiya.
Ahmed Sekkaki était il n y a guère longtemps le grand directeur des cours appelés ELCO (Etudes de langues et de cultures d’origine), au sein des établissements officiels belges tant en Flandre qu’en Wallonie.
Il avait ses bureaux au sein de l’ambassade du Maroc et était le représentant de l’état marocain pour être l’interlocuteur des ministres de l’enseignement en Belgique .
Lorsque son contrat vint à son terme, ce monsieur se devait selon la législation belge regagner le Maroc, mais on ne sait par quel miracle il réussit à échapper au contrôle de l'Office des étrangers et changer son statut de séjour en Belgique, pour demeurer dans notre pays
Aujourd’hui, il est bien tard pour tenter de stopper la machine à radicaliser les esprits des enfants musulmans.
La nouvelle stratégie en marche consiste à créer des écoles islamiques un peu partout dans le pays pour isoler les jeunes musulmans du reste de la société et les préparer à de futurs engagements radicaux.
La lutte contre les départs en Syrie et en Irak constitue un pis aller sécuritaire et un combat d’arrière garde, tant la radicalisation des esprits, qui a démarré depuis longtemps, constitue pour les salafistes et les jihadistes de chez nous, un travail patient et de longue haleine
Au sein des mosquées et des associations telles que Markaz Attawhid et les multiples centres de Saint Josse, Schaerbeek,… liés à des mosquées ayant pignon sur rue et reconnues par les pouvoirs publics locaux et même régionaux, ce travail est mené par des cadres bien instruits et au fait des lois et des législations belges
Les promoteurs de ces écoles (quasi tous membres des Frères musulmans) ont bien compris la méthode dont il leur faut user pour émarger aux moyens publics et à la reconnaissance des départements de l’instruction publique, afin de multiplier la création de ces écoles.
Les pseudo collectes organisées auprès des Musulmans de notre pays, comme celle de la future école qui s’ourira prochainement à Schaerbeek, constituent des leurres pour masquer l’afflux massifs de l’argent provenant par valises d’Arabie saoudite et du Qatar et d’extraire cet argent du contrôle du fisc et des limiers de l'anti terrorisme
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