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...si le ridicule devait tuer
Juste après les dernières élections communales et régionales qui se sont déroulées au Maroc, j'ai effectué un bref séjour à Tanger et pu rencontrer le maire sortant dans un restaurant de la ville.
Il était très dépité et très déçu de ne pas avoir été reconduit.
L'ami qui m'accompagnait et qui le connaissait bien me présenta à lui et nous pûmes autour d'une salade de fruits (le maire en était au dessert), échanger quelques réflexions autour de la ville et des réalisations engrangées durant son mandat.
Je profitai de cet entretien à bâtons rompus pour demander au maire sortant, quel sera d'après lui, l'avenir des contacts qu'il a eus l'année passée avec la commune de Saint Josse.
Il a éclaté d'un fou rire qui, je dois l'avouer était quelque peu déconcertant. Mais rapidement il s'est repris pour me dire que c'était à cause des souvenirs qu'il a gardés de ses visiteurs de Saint Josse qu'il a spontanément poussé ce rire.
Il m'avoua qu'ils étaient charmants mais plutôt amusants. Ils n'ont pas arrêté de me faire des promesses susceptibles de développer considérablement la ville de Tanger,
Surtout l'adjoint au maire, le tangérois Azzouzi. Lui, était le plus amusant de tous
Mais depuis leur retour chez eux, nous n'avons plus entendu parler de leurs promesses
Après le café, l'ex maire prit congé de ses amis et moi et mon ami fîmes de même
Depuis que la délégation de la commune de Saint Josse quitta Tanger en début de cette année suite à deux ou trois séjours inutiles, le club de football de la ville, le IRT (Ittihad Ryadi de Tanger - Union sportive de Tanger) accéda à la division de l'élite et s'apprête prochainement à disputer la finale de la coupe du roi (trophée le plus prestigieux du pays).
Azzouzi l'amusant avait promis entre autres conneries, à ses hôtes de Tanger de jumeler le club tangérois avec Anderlecht (A quel titre) et d'aider Tanger à promouvoir l'emploi des jeunes
Il s'est bien foutu de la g de ses hôtes, puisqu'il sait pertinemment que le budget de la commune de Saint Josse n'arrive pas à la cheville de la prime que le club de Tanger paie à un joueur de l'IRT en cas de victoire en déplacement.
L'échevin ten noodois de la culture, que je n'ai jamais surpris avec un livre à la main, pas même un journal, lorsqu'il prend un thé aux Palais des délices et qui n'a jamais organisé sur le territoire communal la moindre activité culturelle...a passé ses législatures à se disputer avec les animateurs de plaines de jeu et des squares et à harceler l'un ou l'autre responsable de son service de l'occupationnel à la con.
La presse en a fait ses choux gras de ces énervements et des ses emportements injustifiés contre des animateurs qui refusent de coller ses affiches électorales.
Le florilège d'articles ci après, en l'honneur du caractère exécrable de l'échevin de la "culture", compilé par notre collègue du blog "1210 SJTN" témoigne à satiété de l'inutilité d'un tel échevin.
Il m'avoua qu'ils étaient charmants mais plutôt amusants. Ils n'ont pas arrêté de me faire des promesses susceptibles de développer considérablement la ville de Tanger,
Surtout l'adjoint au maire, le tangérois Azzouzi. Lui, était le plus amusant de tous
Mais depuis leur retour chez eux, nous n'avons plus entendu parler de leurs promesses
Après le café, l'ex maire prit congé de ses amis et moi et mon ami fîmes de même
Depuis que la délégation de la commune de Saint Josse quitta Tanger en début de cette année suite à deux ou trois séjours inutiles, le club de football de la ville, le IRT (Ittihad Ryadi de Tanger - Union sportive de Tanger) accéda à la division de l'élite et s'apprête prochainement à disputer la finale de la coupe du roi (trophée le plus prestigieux du pays).
Azzouzi l'amusant avait promis entre autres conneries, à ses hôtes de Tanger de jumeler le club tangérois avec Anderlecht (A quel titre) et d'aider Tanger à promouvoir l'emploi des jeunes
Il s'est bien foutu de la g de ses hôtes, puisqu'il sait pertinemment que le budget de la commune de Saint Josse n'arrive pas à la cheville de la prime que le club de Tanger paie à un joueur de l'IRT en cas de victoire en déplacement.
L'échevin ten noodois de la culture, que je n'ai jamais surpris avec un livre à la main, pas même un journal, lorsqu'il prend un thé aux Palais des délices et qui n'a jamais organisé sur le territoire communal la moindre activité culturelle...a passé ses législatures à se disputer avec les animateurs de plaines de jeu et des squares et à harceler l'un ou l'autre responsable de son service de l'occupationnel à la con.
La presse en a fait ses choux gras de ces énervements et des ses emportements injustifiés contre des animateurs qui refusent de coller ses affiches électorales.
Le florilège d'articles ci après, en l'honneur du caractère exécrable de l'échevin de la "culture", compilé par notre collègue du blog "1210 SJTN" témoigne à satiété de l'inutilité d'un tel échevin.
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