lundi 14 décembre 2015

Sabil et la Chevalière (Partie 1)

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Il est théologien ...elle est cadre européenne


Fin 2008, j'animais un blog auquel j'avais accolé le nom de "Bruxellois, non peut être".

Ce blog fut "sucré" par la société hébergeuse suite à de nombreuses plaintes émanant de certaines personnes (religieuses et politiques), que j'avais épinglées à cette époque pour non conformité aux pratiques démocratiques et celles touchant aux doits de l'homme.

Mon hébergeur n'avait pas pris la peine de me contacter ou de m'avertir avant de procéder à l'élimination de mon blog

Les plaintes contre "Bruxellois, non peut être" concernaient la publication à cette époque, de commentaires non signés et donc anonymes, que des filles musulmanes ou se présentant comme telles, m'avaient sollicité de publier

Les quatre filles résidant dans différents pays d'Europe dénonçaient par leurs commentaires, l'"abus de confiance" dont elles avaient fait l'objet de la part d'un théologien en vogue du nom de Sabil Chaabane

Elles se disaient toutes avoir été abusées par ledit théologien, qui avait confié à chacune d'elles son amour et son désir de la prendre pour épouse.

Ajoutant qu'il était divorcé et qu'il cherchait une âme sœur afin de lier sa vie à la sienne

Les filles commentatrices qui ne se connaissaient pas au départ, découvriront par la suite que le théologien s'était bien moqué d'elles après les avoir eues toutes dans son lit.

Et elles voulaient dénoncer ces pratiques "contraires" selon elles, aux enseignements de l'islam

N'empêche que les quatre filles, toutes adultes et vaccinées, avaient consenti en toute connaissance de cause et sans y avoir été contraintes par la force ou la violence, à s'envoyer en l'air avec le charmant théologien

Et ce ne fut qu'après avoir découvert que le séducteur n'était point divorcé qu'elles décidèrent de se venger de ce qu'elles considéraient comme une "haute trahison"

L'une d'elles qui se révèlera plus tard comme celle qui fut la plus remontée contre Sabil me contacta pour me montrer les pièces attestant des graves accusations qu'elle adressait à celui qui l'avait "trompée" sur son statut matrimonial

De fait, à force de chercher et de recouper, la liégeoise Yasmine qui préparait son mariage avec un jeune de Belgique pendant qu'elle partageait le lit de Chaabane, finit par tomber sur les coordonnées des autres filles qui avaient posté leurs commentaires sur "Bruxellois, non peut être".

Elle prit le pseudo de La Chevalière pour ne pas apparaître au grand jour sous sa véritable identité de Yasmine. B.

Elle avait surtout peur d'être découverte par le théologien et de faire l'objet de représailles sous forme de dévoilement au grand jour de ses frasques avec Sabil.

Elle craignait que son jeune époux de même que sa famille ne soient mis au parfum de la liaison torride qu'elle avait entretenue avec Chaabane.

Et donc, tout en cherchant à se venger de la félonie du théologien, elle prenait toutes les précautions du monde pour demeurer incognito

Difficile exercice

Plus tard, je découvrirai que Yasmine, malgré la construction de son foyer, continuait d'espérer un jour, renouer avec son Chevalier.

Il y a quelques mois, l'une de ses amies, elle même "victime" de sa "bonne foi", me confia que Yasmine cherchait à soutirer de l'argent à Sabil, en monnayant les enregistrements qu'elle détenait et qui montraient les scènes chaudes de sa relation avec ce dernier.

D'autant que Yasmine avait appris de Houda la lyonnaise, qu'une autre "victime" du Théologien "Majda. B", avait accepté de mettre un terme à son conflit avec ce dernier et de cesser de poster sur les réseaux sociaux des photos de Sabil, après avoir obtenu un montant non négligeable de ce dernier.

Le seconde des quatre parties de cette série vendredi prochain sous le titre :

"Fuite vers l'Arabie saoudite"  











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