.
..je me renseignerai sur l'état de santé ou les problèmes familiaux des politiciens que je critique
Pas plus qu'avant hier, lorsque j'ai rédigé et posté l'article évoquant la démission de la NVA de Dirk Berghmans (conseiller communal à Molenbeek), ne voilà t il pas qu'un ami m'apprend que l'un des amis du conseiller flamand lui a appris que l'administrateur de Daarkom était malade et que l'évocation de son nom dans l'article posté par votre serviteur, était très malvenue.
Dans le même registre, un ami de Fouad Ahidar m'avait reproché il y a quelques mois, d'avoir critiqué le vice président du parlement régional bruxellois au sujet de sa nullité politique, m'apprenant que ledit Vice président venait de perdre sa belle mère....
Bien entendu, lorsque j'avais rédigé ces articles, je n'étais au courant ni de la maladie de Dirk Berghmans, encore moins du décès de la belle mère de Fouad Ahidar.
Et quand bien même j'avais connaissance des ces faits, je considère que la critique fondée adressée à un homme politique, au sujet de son action en tant qu'élu de la nation ne doit en aucun cas tenir compte de son état de santé ou de ses ennuis familiaux
Il va de soi que sur le plan strictement humain, je compatis à la tristesse de Fouad Ahidar qui venait de perdre sa belle mère et que je souhaite un prompt rétablissement à Dirk Berghmans
Cependant, je vois mal Fouad ou Dirk adressant des reproches à des journalistes professionnels pour "non respect" de la tristesse de l'un comme de l'autre.
D'autant qu'étant hospitalisé suite à un infarctus (c'est ce que son ami m'a communiqué), Dirk Berghmans se devait, pour préserver sa santé, de remettre à son parti la NVA, son mandat qu'il détient à ce jour à Daarkom
Il en va de même pour l'échevin ten noodois Jabbour qui, après avoir été hospitalisé durant des mois au Maroc puis en Belgique suite à un accident sérieux de santé, a continué à détenir ses mandats à la commune de son Saint Josse et au Port de Bruxelles.
Dois je désormais m'enquérir chaque fois que je rédige un article relatif au travail d'un élu, de l'état de santé de ce dernier ou des problèmes domestiques qu'il traverse ?
Fouad Ahidar, l'éternel "immigré"
A la minute 1mn 23 secondes de cet enregistrement, Fouad Ahidar qui présentait à Agadir en 2015, un film réalisé par des jeunes marocains de Belgique, déclare qu'il se considère toujours comme un immigré et qu'il fait toujours l'objet de la haine ambiante.
C'est très grave dans la bouche d'un élu qui a obtenu d'occuper la Vice présidence du parlement bruxellois.
Que lui faut il de plus pour qu'il se sente comme faisant partie de ce pays qui l'a comblé et lui a ouvert toutes les portes
Cette ingratitude est typique de tous ces acteurs qui ont été reconnus par la société belge mais qui, par misérabilisme et pour caresser dans le sens du poil un électorat "immigré", recourent à cette démagogie inadmissible
Si t'es mieux accueilli et considéré au Rif, retournes y !!!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire